toujours l'espérance d'être plus régulier dans le transfert d'écritures
le 22 juillet 2018
Je veux vraiment accélérer quelque peu le transfert d’écritures datant de quelques années à ce cahier. Mais comme je ne jouis depuis près de trois ans que d’un seul jour de congé par semaine, cela est assez difficile. Quoique chaque fois que je publie quelque chose ici, cela me procure de l’énergie positive tout à fait spéciale.
Ma principale cliente, madame E est maintenant âgée de 94 ans et quatre mois. Son esprit est assez alerte mais son corps est fatigué. Généralement, je suis auprès d’elle entre 9h et 12h30, du lundi au samedi. Un de ses trois fils qui demeure dans la même municipalité qu’elle la visite le dimanche.
Je ne crois pas avoir écrit ici depuis qu’un événement assez important est survenu dans ma vie. Mon frère L. qui avait trois ans de plus que moi soit 65 ans, est décédé en mai dernier. Il était marié et avait un fils Personne ne s’attendait à ce qu’il rende l’âme si tôt. C’était subit. J’avais deux frères, il m’en reste un. J’ai toujours sept soeurs.
La façon de procéder varie, mais je médite et prie toujours un certain temps tous les jours, généralement le matin.
Hier, j’ai eu droit à une réunion de famille à l’occasion de mon anniversaire de naissance lundi prochain, le 23.
Il y a un vide de quelques mois dans les écritures qui suivent. Je crois bien les avoir perdues Comme c’était sur deux cahiers, je dois retourner derrière pour copier-coller, et je ne sais pas comment conserver cela ici avant de le publier. Donc, je publie cela tout de suite. Et tantôt, je copierai-collerai l’autre partie
Le dimanche 9 oct. 11
Enfin, je peux écrire un peu. Je me suis réveillé à 5h45, ce matin. J’ai bu deux tasses de café et j’ai fait les prières du matin. Puis je me suis installé à l’ordinateur alors qu’il était près de 7h. J’étais rendu dans ce dossier, prêt à écrire, C. a appelé et elle est arrivée quelques minutes plus tard. Elle est restée dans l’appartement jusqu’à 8h20. Je me suis alors brossé les dents et je me suis rasé. Puis j’ai déjeuné. À la fin de tout cela, il était 9h45 et j’ai alors fait la sieste jusqu’à 10h50. C. m’a de nouveau visité quelques minutes plus tard, cette fois, elle est restée une heure. Après son départ, j’ai mangé un sandwich au jambon et j’ai bu un verre de jus de tomates. Puis A. S.un locataire du bloc, a frappé à la porte. Je lui avais mentionné le nom d’un site, hier, sur lequel ils offraient de l’emploi. Tantôt, il voulait plus de précisions sur le nom de ce site. Je lui ai montré en effectuant la recherche devant lui sur mon ordinateur. Il retournera sur ce site sur l’ordinateur d’A .lorsque celle-ci aura terminé sa sieste.
Ce qui fait qu’il est maintenant 12h54 à l’horloge de l’ordinateur et que je peux écrire un petit moment avant de faire un peu de vélo stationnaire et de prendre ma douche pour me rendre à un souper familial chez M., souper qui regroupera autour de la table ma sœur M., de Montréal, et mon frère L, qui vit actuellement à son chalet de Smith Falls.
Hier, samedi, j’ai balayé le plancher de la chambre de L. L. à la résidence Hamel, et j’ai lavé sa deuxième et dernière fenêtre. On peut calculer que le grand ménage de sa chambre est terminé. Je l’ai complété à raison d’un peu plus de 30 minutes par semaine depuis la fin du dernier mois d’avril.
Chez monsieur T., le voisin de la résidence Hamel, j’ai une fois de plus tondu le gazon. Je retournerai demain en avant-midi pour tailler une haie. Et je retournerai encore quelques fois d’ici l’hiver soit pour tondre le gazon ou soit pour travailler dans les plates-bandes. Disons que d’ici trois semaines, je demeurerai ici de temps à autres le samedi. Cela fera du bien.
Je suis revenu de Ste-Rose, hier, à 14h30 et j’ai fait la sieste entre 15h30 et 17h45 Pour le souper, j’ai mangé un bol de soupe et une salade spéciale que M. me prépare toujours lorsque je vais chez elle le vendredi. À la suite du souper, hier, je me suis assis devant le building, ici, en compagnie d’A. S. et de C.. À mon retour dans l’appartement, il était 20h. J’ai alors fait la vaisselle et rangé un peu. Puis C. m’a ensuite visité jusqu’à 21h20. Puis pour terminer la journée, j’ai lu, à l’ordinateur, plusieurs textes des chroniqueurs du journal La Presse.
J’ai rêvé fréquemment dernièrement. Il y en a eu un entre autres, rêvé au cours de la sieste de l’après-midi, hier, qui a fait en sorte que j’avais hâte à la prochaine séance d’écriture.
Le décor de ce rêve était la ferme paternelle à Luskville. J’étais là un peu par inadvertance et je crois qu’avant ce que je vais décrire, j’avais salué ma mère qui vivait dans la maison. Toujours est-il que les bâtiments de ferme étaient toujours en place, mais je n’avais plus rien à faire là bien qu’on y trayait encore des vaches dans l’étable. Ce n’était pas des gens de ma famille non plus qui s’occupaient du fonctionnement de cette ferme, c’était plutôt monsieur L, celui qui occupait le poste de directeur de l’organisme Mon chez nous lorsque j’y suis arrivé. Il était demeuré en poste jusqu’à temps que je déménage ici, sur la rue Laval. J’ai toujours entretenu une très bonne relation avec lui.
Toujours est-il qu’au début du rêve, après, je crois, avoir salué ma mère dans la maison, j’étais dans la cour de la ferme et je fraternisais avec B., un locataire d’Hamel, qui vraisemblablement, attendait l’arrivée de monsieur L. pour s’occuper de la traite des vaches. Puis celui-ci a finalement fait irruption dans la cour à bord d’une grosse voiture, genre des anciennes grosses Chevrolet. En me voyant, il semblait croire que j’irais chercher les vaches dans le pâturage, mais je lui ai dit : « je vous laisse ça ».
Dans le rêve, j’ai eu le temps de me rendre compte que le troupeau broutait tout près. J’ai aussi pu constater qu’il y avait un grand bout de clôture qui manquait et que des gens s’interrogeaient sur le comment réparer ce bout ce clôture avant que l’un d’entre eux ne note que cette situation perdurait depuis longtemps et que les vaches ne s’étaient jamais échappé.