La suite de ce que j'écrivais en 2010 et quelques mots du temps présent.
Le fait de relire ce que j’écrivais il y a quelques années me procure toujours une énergie spéciale sur le moment et par la suite. J’espère qu’avec le temps, certains lecteurs et certaines lectrices deviendront sensibles à l’énergie qui peut se dégager de ces écritures. Je suis conscient cependant que les premières pages de cette très grande lettre, soient ces pages que je retranscris ici de temps à autres, souffrent d’une certaine lourdeur dans le style et dans le propos. J’ai hâte de progresser encore un peu plus dans la transcription de ces écrits car depuis un bon moment, au moins plusieurs mois, voire quelques années, le style est beaucoup plus coulant et la lecture en est donc plus agréable.
Je suis bien. Je suis en paix. Et cela depuis un certain temps. Comme si toutes ces années d’écritures et de thérapies produisaient l’effet escompté. La vie est plus facile.
Ci-dessous, ce que j’ai coupé et corrigé ce matin. C’est la suite de ce que j’avais retranscris dans ces pages jusqu’à maintenant.
Le lundi 25 octobre 2010
Nous avons eu droit à la visite de ma sœur G. en fin de semaine. Elle est arrivée ici samedi après-midi. Nous sommes allés souper chez M. Ensuite, je l’ai conduite chez T. et je suis revenu ici avec sa voiture. Le dimanche matin, je me suis rendu déjeuner chez T.. Puis G. est repartie en direction de Montréal pendant que T. et H. me reconduisait chez moi.
Aujourd’hui, j’ai reçu mon injection au CLSC en après-midi. Au retour, j’ai fait une pouding chômeur pour C. J’ai dormi un somme. Puis je me suis préparé des côtelettes de porc pour le souper. Après le repas, je me suis rendu chez le dépanneur pour A.et Al. deux locataires de mon building .Puis, j’ai lavé la vaisselle. C. m’a visité pour un bon moment.
Oui, C. me visite trop souvent et trop longtemps dernièrement. C’est la principale raison pour laquelle j’ai si peu écrit au cours de la dernière semaine. Quand elle me visite, elle reste souvent près ou plus d’une heure. J’ai l’impression que seulement le fait de l’écrire, cela se règle en partie. Au moins pour ce soir, je la sais en train de prendre son bain et je sais également qu’elle se couchera par la suite. Il faut dire aussi que les derniers matins, elle dormait jusqu’à assez tard et qu’elle n’était pas ici vers les 5h30 pour le café.
Je voulais écrire seulement pour faire acte de présence, ce soir. J’ai à écrire sur l’argent, les rêves, la méditation. Ce sera pour une autre fois. Je me sens bien. La méditation est très utile.
Le mardi 26 oct. 10
Il est 5h45. Il y a eu la prière d’énergie habituelle. Il y a eu la méditation guidée du centre Chopra, et, maintenant, j’écris quelques lignes. J’espère que ceci en viendra à s’implanter comme un rite quotidien, prières, méditation, écritures, ne fussent que quelques lignes.
Le temps d’écrire que je passerai quelques heures avec madame E, aujourd’hui. Qu’il me reste à faire la toilette du matin, mon lunch, et à déjeuner.
Le temps de la prière, de la méditation et de l’écriture, ce matin, j’ai accroché l’affiche à ma poignée de porte indiquant de ne pas déranger.
Pour la prière et la méditation, cela s’est implanté comme un rite matinal quotidien. Pour ce qui est d’y inclure également une courte période d’écritures, cela reste à venir. Nous sommes maintenant dans le cours de l’après-midi du dimanche. Il est 14h30.
J’ai dormi pendant un bon moment après le déjeuner, ce matin. Au fait, j’ai dormi jusqu’à midi trente. Au réveil, je me suis préparé une sandwiche et j’ai fait la vaisselle des derniers repas. Puis je suis allé enterrer le compost dans le jardin. Il a neigé au cours de la nuit dernière.
Hier, j’ai fait la grosse épicerie du mois et j’ai diné chez ma sœur M.. En soirée, j’ai lu les Devoirs qu’elle m’avait laissés.
Au cours de mon sommeil, ce matin, un rêve. J’étais en visite chez mes frères L. et A.qui, vraisemblablement, habitaient avec ma mère dans une très grande maison. A. devait quitter dans une dizaine de minutes. L. devait partir également. A. a offert de me laisser près d’une bouche de métro pour que je retourne chez moi. Puis avant le départ, A. me disait passer l’aspirateur chaque semaine dans le salon. Je notais : « c’est très grand ! », en pensant surtout au temps requis pour le ménage. Puis L., A. et une autre personne, qui, en y songeant au réveil, m’a semblé être P., le gendre d’A., ces personnes étaient assises au salon et j’étais invité à me joindre à eux. Je pensais que nous disposions de peu de temps pour faire la conversation. J’ai eu du mal à dénicher une chaise. J’ai tout d’abord commencé par vouloir une chaise qui était sur une table. Cette chaise ne semblait pas trop bonne. Alors, P. en a approché une avec le bout de son pied et j’ai utilisé celle-là, bien qu’elle fût étroite et non confortable. Le rêve a pris fin alors que je m’assoyais en sachant que nous parlerions pendant très peu de temps. Si le rêve s’était poursuivi, A. m’aurait laissé au métro et je serais revenu chez moi.
J’ai le souffle court en écritures, parfois. Comme je désire écrire à propos d’autres choses, mais l’énergie n’y est pas. Je dispose environ d’une heure avant que T. n’appelle pour le souper. Je vais tout simplement boire un café et relaxer en espérant au moins une autre session d’écritures, idéalement deux, avant de faire parvenir le tout à mon psychologue.
Le mardi 2 novembre 10
J’ai seulement le temps d’écrire quelques lignes, ce matin, avant d’expédier le tout à Gilles, mon psychologue, en prévision de la rencontre de jeudi.
J’ai fait les prières et l’énergie habituelle, ce matin. Je ferai la méditation quelques temps en après-midi. Il me reste la 21e méditation à faire du défi de 21 jour, et, ce matin, le centre Chopra m’en envoie une pour le 22e jour. Je suis donc bon pour encore au moins deux sessions de méditations guidées. Je continuerai la méditation, c’est certain, malgré que pour diverses raisons, je ne l’ai pas faite hier.
Quand je travaille chez madame E. ces dernières semaines, cela a tendance à s’étirer tard en après-midi et d’ainsi faire grimper le total des heures travaillées. Comme vendredi dernier, par exemple, j’ai tout d’abord conduit sa voiture au Canadian Tire pour un problème de démarrage. Je ’ai apporté au garage à 7h. Il m’avait fallu partir d’ici à 5h55 pour ce faire .Puis ensuite, j’ai fait des choses dans sa maison et du magasinage jusqu’à 14h30. J’ai alors inscrit cinq heures sur la feuille de temps.
Hier j’ai visité un médecin qui remplaçait mon médecin de famille habituel, le docteur Gauthier. J’ai reçu le vaccin contre la grippe saisonnière .
J’ai commencé à communiquer avec quelqu’un connu sur le site de rencontre. C’est un gars de près de 40 ans, qui demeure quelque part dans le nord de l’Ontario. Pour ce qui est de moi, ce ne sera sûrement pas le grand amour avec lui, bien que ce soit ce qu’il recherche. Mais le simple fait d’échanger quotidiennement pour un temps avec un homme gay, cela fait du bien. J’ai donné comme un rush de présence sur le site de rencontres dernièrement. L’intensité de cette présence est probablement à la veille de diminuer. J’ai envie, parfois, de disparaître de ce site pour un petit moment, quitte à rouvrir un compte quelques semaines ou quelques mois plus tard. Je ne peux pas dire que j’ai récolté beaucoup sur ces sites. Je reviendrai là-dessus.
L’idée dans le rêve de l’autre jour que j’avais peu de temps pour parler à A. et que j’étais assis sur une chaise plus ou moins confortable, dans mon esprit, par la suite, j’avais associé cela au peu temps que je peux consacrer à ce copain du nord de l’Ontario. J’ai un peu d’écriture et de travail sur moi à faire encore sur cette question. Ce gars là servira plus d’expérience que d’autres choses .Il ne déclenche pas d’enthousiasme chez moi, mais pour un temps, je tiendrai peut-être à échanger quelques mots avec lui. S’il peut accepter que nous ne soyons que des amis, ce serait parfait.
Le mardi 9 nov. 10
Je n’écrirai que durant quelques minutes ce matin. J’ai tout simplement jugé qu’il valait mieux écrire quelques lignes que de ne pas écrire du tout.
Je me suis réveillé peu après 4h. J’ai bu quelques cafés. J’ai fait mes prières habituelles. J’ai fait une méditation tirée de la bibliothèque de méditations guidées du centre Chopra.
C’est vraiment très bien ces méditations. Et dernièrement, également, j’ai déniché un site catholique qui s’appelle : Un moment sacré. Les prières et les textes y sont placés par des jésuites contemporains, et, assez souvent comme ce matin, je termine par un genre de prières, lectures, méditations sur ce site. Il y a comme un genre de mini-messe tous les jours. Cela aussi brasse de l’énergie.
Et ce matin, ce que je devrais faire plus souvent, je complète ce travail d’énergie, ces méditations et ces prières par quelques instants d’écriture. Ce sera vraiment complet. Il est presque 6h. J’ai la toilette du matin, le lunch, les cigarettes à rouler, le déjeuner, et, peut-être, la visite de C. Tout cela avant de quitter l’appartement à 8h20 pour me rendre chez madame E.
Hier, je suis allé à la bibliothèque municipale. J’avais terminé en fin de semaine l a lecture du roman ‘Hier, de Nicole Brossard. J’ai mis plus de trois mois à compléter la lecture de ce livre, mais il faut dire qu’à peu près chaque phrase de ce livre mériterait d’être citées. Un livre très bien écrit. Il faut dire également que je recommençais à lire à la suite d’une interruption de plusieurs mois. Je suis de nouveau dans une période de lecture. Hier, et quelques fois auparavant, j’ai profité de mes périodes d’exercices sur la bicyclette stationnaire pour faire un bout de lecture.
Le dimanche 14 nov. 10
Il est présentement 10h40. Je suis un peu frustré car je viens de consacrer plus d’une heure, une fois de plus, à tenter d’installer la caméra web que je possède depuis plusieurs mois, et, encore une fois, ce fut sans succès. Ce n’est pas quelque chose qui presse énormément, mais ce serait agréable que ce soit installé, en cas de besoin. Un certain moment, d’ici quelques mois, peut-être que je me résoudrai à mettre l’ordinateur dans sa valise, et à me rendre chez un réparateur d’ordinateurs pour qu’il entre le programme. La difficulté que j’éprouve finalement, c’est de faire fonctionner le lecteur de CD. J’ai l’impression que ca ne fonctionne plus du tout. J’essaierai peut-être avec d’autres disques plus tard voir si ceux là arrive sur mon ordinateur ou je lirai le livre d’instructions, je ne sais pas.
Toujours est-il, hier, j’ai acheté les 21 méditations du défi de 21 jours de méditations du centre chopra. Je peux les écouter à volonté, et j’ai téléchargé la première ce matin. Elle apparaît avec les autres icônes sur mon « desktop ». J’ai tenté l’expérience de l’expédier à Grace et probablement qu’elle pourra y avoir accès également. Au cours des jours et des semaines à venir ,je les expédierai aux personnes à qui j’avais fait suivre ce qui me parvenait gratuitement du centre Chopra. Ce qui nous parvenait ainsi, j’y ai eu accès jusqu’à il y a quelques jours. Puis, un beau matin, en cliquant pour obtenir le son d’une session de méditation, il y avait un message du centre Chopra indiquant que ce n’était plus accessible mais que je pouvais les acheter. Ce que j’ai fait, $30.00 pour 21 sessions de méditations de qualité.
Quand je télécharge une de ces méditations comme j’ai fait avec la première, cela devient un document personnel dans mon ordinateur, j’ai bien l’impression que je peux le faire parvenir à quelques personnes, et, que, pour elles, cela deviendra un document durable également. J’espère que le centre Chopra n’étend pas ses tentacules jusqu’à ces documents personnels comme il l’a fait avec ce qui était après tout un message qui m’était parvenu par courriel. Ce que je veux dire, c’est qu’ils sont venus modifier le contenu d’un envoi après que je l’aie reçu.
Je sais les gens du centre Chopra extrêmement honnête. En seulement, ce qui vient d’arriver avec eux constitue tout simplement une preuve supplémentaire qu’on agit passablement à ciel ouvert avec ces systèmes de courriels. Cela ne me freinera pas d’écrire d’autres courriels d’amour si l’occasion m’en est redonné. Quand j’ai effacé tout le dossier des lettres de Stéphane, je suis également allé dans le dossier des « messages envoyés » afin d’enlever les lettres que je lui écrivais. Ces lettres atteignaient un sommet pour moi dans le propos amical et amoureux bien que contenant extrêmement peu de sensualités. Le plus loin que j’étais allé peut-être dans le sens de la sensualité et de la beauté de son corps, c’était de lui répondre après qu’il m’ait écrit de faire attention avec les beaux gars du coin, c’était de lui répondre, dis-je, que c’était lui (Stéphane) que je voyais à travers les beaux gars que je croisais sur ma route.
C. est entrée à 8h et a passé près d’une heure ici. Elle est en manque de RC. Je n’ai pratiquement plus un sou. Elle doit emprunter ailleurs. Jusqu’ici, j’ai prêté $40.00 à A. et $32.00 à C.. J’ai fait une petite épicerie chaque fin de semaine depuis le début du mois en plus d’une grosse épicerie la première fin de semaine. J’ai vraiment tout ce qu’il me faut pour ce qui est de la nourriture et des produits de toilettes. Avec les quelques $30.00 que me paiera madame E. mardi, j’achèterai une canne de tabac et j’en aurai presque assez jusqu’à la prochaine paye dans deux vendredis. Je devrais avoir la paix avec C. jusqu’à au moins ce soir, son ami, M., la visitera en après-midi..
Le lundi 22 novembre 10
Il est maintenant 7h50. Ha, ce que j’avais hâte à ce moment au cours duquel toutes les conditions nécessaires à l’écriture seraient réunies, soit le temps pour le faire, l’énergie, et la probabilité de jouir d’au moins une vingtaine de minutes de paix. Et même si C. interrompt cette paix tantôt, ce ne sera que pour un bref moment, le temps de passer un coup de fil à monsieur M., son ami. Il faut bien préciser que ce n’est qu’un ami. Un ami qui la dépanne tout de même de temps à autres pour ce qui est du tabac et du RC.
Je suis sorti du lit à 5h10 ce matin. Cela fait quelques matins de suite que je dors jusqu’à au moins 5h. C’est bien, je me sens plus reposé. Par contre, cela me presse un peu plus, surtout les journées où je dois quitter l’appartement à 8h20. Je ne bois alors qu’un seul café avant de passer aux prières du matin. Et ensuite, je m’adonne à une session de méditation du centre Chopra, et, au moins quelques fois par semaine, je visite le site : « un moment sacré », qui, pour moi, équivaut pratiquement à assister à la messe. Et, de temps à autres, également, je lis quelques pages sur le site « autres dimensions ». Il s’agit d’un site passablement ésotérique qui traite d’énergie, de changements sur la terre, et tout cela. Tout ce qui est rapporté de factuel est, selon moi, à prendre avec un gros grain de sel, mais il demeure que la lecture de cela a chez moi l’effet d’une prière et, assez souvent, inspire mes gestes de prière par la suite. J’ai lu un peu sur ce site dernièrement et le fait d’avoir quelque peu modifié ma prière a fait en sorte que L. se sent bien tous les jours. L. me sert un peu de baromètre pour m’indiquer si je prie assez et convenablement. Je reviendrai un peu plus tard, peut-être, sur les prières et ses effets.
Moi, ca va bien. Sans le sou pour quelques jours, mais ne manquant de rien d’essentiel. Hier, en plus des habituelles oranges, j’ai ramené de chez T.du lait, des oignons et de l’ail. Dans mon congélateur, j’ai trois repas de rôti de bœuf et un ou deux repas de poitrines de poulet de prêts à faire réchauffer. En plus, j’ai trois paquets de viande hachée. J’en avais quatre, mais j’en ai donné un à C. ce matin, en plus de deux oignons et de deux pommes. J’ai également de la sauce à spaghetti, de la soupe, du poisson et des saucisses à déjeuner.
Donc, ce matin, je me suis levé à 5h10. J’ai bu un café jusqu’à 5h45. J’ai fait la prière-énergie jusqu’à 6h10. C.a cogné à la porte peu de temps par la suite. Nous avons bu chacun un café et vers 6h45, elle est partie en direction du dépanneur Laval, à trois minutes de marche d’ici. Depuis deux mois, à partir du 20 du mois, le propriétaire du dépanneur lui ouvre une marge de crédit de $100.00. Au retour, ce matin, il ne lui restait que quelques dollars à dépenser avant d’atteindre ce $100.00. Pratiquement tout ces $100.00 vont pour le tabac et le RC. Et le RC, si elle en a cinq chez elle, plus souvent qu’autrement, elle passera au travers à l’intérieur de 24 heures.
Toujours est-il, vers 7h ce matin, Céline m’a sonné de la porte d’entrée principale pour que je l’aide à monter ses achats à son appartement. Je m’étais brossé les dents pendant son absence. Elle est revenue parler un peu par la suite. Puis elle est partie. Je me suis installé à l’ordinateur avant le déjeuner.
Et puis voilà, elle est revenue de nouveau alors que je terminais le dernier paragraphe et j’ai fermé l’ordinateur. J’ai déjeuné. Je suis de nouveau à l’ordinateur. Il est 9h45. Elle est entrée un fois de plus pour répandre du parfum dans l’air. Je n’ai pas bougé de l’ordinateur et elle est repartie. Il y a des maudites limites. Particulièrement ce matin, alors que je me sens en forme pour écrire.
Je veux écrire un peu sur le quotidien, sur ce qui arrive. J’en omettrai de grands bouts car il y a si longtemps que je n’ai tenu la chronique des faits divers. Un fait important, la semaine dernière, c’est que monsieur D. m’a téléphoné pour la première fois, peut-être, depuis le milieu de l’été, et surtout depuis que madame L. m’avait appris, il y a peut-être deux mois, que la fille de monsieur D., N., avait changé de voiture. N’ayant pas de nouvelles, je croyais que pour une raison ou pour une autre, cela était terminé avec les D.
Et bien non. Je les conduirai, monsieur et madame, ce jeudi après-midi, pour une visite chez leur dentiste sur la promenade du Portage, à Hull. Monsieur D. m’a téléphoné mardi de la semaine dernière et leur fille N. m’a rejoint jeudi pour me dire qu’elle m’apporterait les clefs de la voiture dimanche. Ce qu’elle a fait hier soir à 18h30. Elle en a profité pour me mentionner que toute sa famille appréciait vraiment l’aide que je fournissais à leurs parents.
Les D. ont emménagé récemment dans une chambre, toujours à la résidence de la Cité du jardin dans le secteur Gatineau de la ville de Gatineau. Monsieur D. m’a dit qu’ils avaient déménagé pour des raisons de santé. Ils habitaient auparavant dans un appartement.
N. m’a confié toutes sortes de choses, hier soir, comme par exemple que leur père pleurait parfois et qu’ils n’étaient pas habitués à cela. Elle a dit : « un homme de cette génération là, ça ne pleurait jamais. C’est difficile de voir cela ». Récemment, ils ont fêté tout à la fois, le 87e anniversaire de naissance pour les deux de même que leur 60e anniversaire de mariage. J’imagine que les célébrations ont du être assez sobres.