Profiter de l'énergie du moment pour avancer dans la publication
J’ai écrit ici hier et je suis de retour aujourd’hui, le 9 novembre. Tout comme hier, je me suis installé à l’ordinateur immédiatement après la méditation quotidienne. Je ressens vraiment un mieux-être spécial quand je retranscris quelque chose ici, alors je continue de me faire du bien en espérant que cette bonne énergie rejaillisse quelque peu sur les éventuels lecteurs et les éventuelles lectrices de ces lignes. J’en copie-colle peu aujourd’hui, mais ce sera cela de fait et j’espère bien à compter de maintenant revenir régulièrement ici.
Le samedi 27 août 2011
Pas de pause, ce matin, entre la séance de méditation et les écritures. C’est que je suis un peu pressé par le temps car je dois quitter à 8h au lieu de 9h pour me rendre à la résidence Hamel pour nettoyer la douche de L. cet avant-midi avant de diner et de tondre la pelouse de monsieur T. J’arrive une heure plus tôt parce que pour la douche, je vaporise du produit nettoyant et je le laisse faire son effet pendant une trentaine de minutes avant de revenir laver et essuyer.
Ce sera le travail pour ce matin. La prochaine fois, il nous restera une dernière partie de la garde-robe à nettoyer, et, les fois suivantes, nous ferons les deux fenêtres. Et cela en sera fait du grand ménage de cette chambre. Les jours normaux, j’arrive à la résidence vers 10h25 et je nettoie jusque vers 11h20, soit environ 10 minutes pour balayer la chambre et le restant, c’est du ménage spécial.
Toujours est-il, j’ai travaillé chez madame E. jusqu’à 13h hier, et ensuite, j’ai dormi chez M. avant de souper, de faire une petite épicerie et de revenir ici. Et en soirée, hier, j’ai eu droit à deux visites de la part de C. A. a passé un petit moment également. C’était bien.
Le mardi 30 août 2011
Je passe directement de la session de méditation aux écritures, ce matin. Il est 6h. Je ne quitterai l’appartement que vers 10h30, aujourd’hui, pour me rendre à l’hôpital Riverside, à Ottawa, afin que le docteur M. me fasse une biopsie sur la petite bosse que j’ai au cou depuis l’automne dernier.
Je ne sais ce qu’il en adviendra. Au début, l’automne dernier, personne ne semblait supposer que ce puisse être quelque chose d’important. Même le docteur G. avait mentionné que ce n’était peut-être qu’une boule de graisse. Puis j’ai eu deux ou trois radiographies pour cela, puis finalement on fera une biopsie, ce matin. Je crois qu’après cela, je rencontrerai le docteur G. le 7 août et à ce moment, je devrais avoir l’heure juste pour ce qui est de cela.
J’ai cuisiné toute l’avant-midi, hier. J’ai fait cuire des poitrines de poulet. J’ai fait une recette avec des côtelettes de porc et j’ai préparé une marmite de soupe. J’ai donné assez de poulet à C. pour se faire quelques sandwiches, puis je lui ai donné un souper complet avec les côtelettes de porc, et finalement, je lui ai donné deux soupes.
Pour ce qui est des denrées alimentaires, depuis que son copain, monsieur M., lui verse moins d’argents, elle vit passablement de ce qu’elle peut attraper à la manne de l’Ile et de ce que certaines personnes lui donnent. Disons que ces derniers mois, je lui donne pas mal de choses.
Il y a un fait de totalement insensé en ce qui concerne C. Sa consommation de tabac et de liqueur douce lui occasionne des dépenses de près de $600.00 par mois. Son loyer lui coûte près de $300.00. Elle retire $900.00 par mois. Il ne faut pas être très doué en calcul pour se rendre compte qu’après avoir acheté son RC, son tabac et payé le loyer, il ne lui reste rien.
Je prie toujours pour que cela aille mieux pour elle. Parfois son système d’alarme se déclenche avant la fin du sixième RC quotidien, mais elle revient à boire 6 grosses bouteilles quotidiennement en peu de temps. Je brasse l’énergie, je ressens qu’il se passe quelque chose quand je fais les prières et l’énergie quotidienne, mais je laisse à plus grand que mon conscient le soin de demander et d’exécuter. C’est un peu la méthode de la méditation également, soit de poser une question et de laisser l’univers y répondre.