la très grande lettre

Le jeudi 13 mars 2014

Pour le ménage et pour l’acte d’écrire, je procède de la même façon, je ne fais l’un ou l’autre que lorsque j’en ai vraiment le goût et que les circonstances s’y prêtent. Il en est de même pour ce qui est d’effectuer coupures et corrections dans mes anciennes écritures et de les reproduire dans ce journal.
Ce matin, j’en ai fait un bon bout et je les copierai-collerai ci-dessous. Je me suis rendu compte que de très beaux rêves avaient complètement disparu de ma mémoire. Et plusieurs scènes de ces rêves peuvent être interprétées différemment aujourd’hui et être encore d’actualité.
Enfin, pour ce qui est de la présentation pour aujourd’hui, je mentionne tout simplement que le fait d’amener ces écritures sur la place publique avec près de quatre ans de retard permet lors de la correction d’éliminer des longueurs et quelques passages délirants. On jugera qu’il en reste encore sans doute, mais, du moins, le pire est éliminé.
Alors voilà, plongeons dans ce que j’écrivais il y a quatre ans.

Le mardi 6 avril 10
5hres40. J’ai eu une très bonne nuit de sommeil. Hier, j’ai décidé de couper la consommation quotidienne de bière pour un bon moment. J’ai fait du travail énergétique, c’est évident. Quelque chose qui est probablement allé travailler ce que j’avais travaillé dans les quelques semaines avant de quitter la maison d’Aylmer, en janvier 2007 et d’emménager à la résidence St-François, à Gatineau, en compagnie de cinq autres gars dans le besoin.
À l’époque, ma sœur G. venait de m’enseigner le travail sur les blocages énergétiques remontant aux anciennes incarnations. Encore , à l’époque, je précisais un peu plus ce que je voulais quand je faisais de l’énergie. Maintenant, et depuis un bon moment, je laisse cela à la partie plus consciente de moi, et, je me contente de ressentir, et, en quelques sortes de manipuler l’énergie. Ceci, plus les prières traditionnelles que je récite doucement en vibrant beaucoup. Normalement, je fais une séance de quelques minutes d’énergie et de prières le matin, et une autre le soir.
Ces prières et ce travail d’énergie ont un effet individuel et sur un certain nombre de personnes également. Je traite, vraiment légèrement un certain nombre de personnes, voire un bon nombre. Bientôt, je recommencerai à faire des traitements individuels pour d’autres personnes. Il y avait eu, je crois que c’était l’été dernier, un jeune homme de 20 ans, connu sur un site de rencontre par Internet, pour lequel j’avais fait un certain nombre de traitement et qui avait admis ressentir plein d’énergie. Ce jeune homme se présentait sous le surnom de M. et il a quitté le site un certain moment, en n’oubliant pas de me saluer avant de partir et de dire que si j’étais encore là quand il reviendrait sur le site, il correspondrait de nouveau avec moi.
Pour en revenir au travail d’énergie que j’avais fait avant de quitter Aylmer, mentionnons que les dernières années vécues à Aylmer, je buvais plusieurs bières tous les jours. Au cours des trois dernières années, disons, la consommation variait entre un minimum de quatre petites bières jusqu’à six ou huit bouteilles par jour. Quand je buvais du whysky, je calais une bouteille de 40 onces à l’intérieur de 4 jours. Le pire, c’est que je buvais le matin, très tôt. Parfois, j’avais bu plusieurs bières avant le déjeûner. Je me levais vers 5 heures, comme c’est encore le cas, et je buvais de la bière au lieu de boire un café. C’était une très forte accoutumance.
Je dépensais plus de $500.00 par mois en tabac et en alcool. Sans difficulté, en raison des traitements, j’ai cessé toutes consommations d’alcool à mon arrivée à Saint-François. Cela a duré près de deux mois jusqu’à ce que je commence à aller boire un verre ou deux de temps à autres au Forum, bar sportif, qui était situé à deux pas de notre résidence. J’allais toujours là en compagnie de J.M un copain et un autre résident. Nous allions surtout les soirs de parties d’hockey. C’était la fin de la saison, et, plus tard, ce fut les séries de la Coupe Stanley. C’était en 2007, l’année ou les Sénateurs d’Ottawa se sont rendus jusqu’à la finale.
Le temps passe. Je reviendrai sur l’historique de ma consommation au cours de cette vie-ci. Je me sens très bien dans ma nouvelle qualité d’être sobre. Je me sens libéré. Et, ce qui n’est pas à dédaigner, j’épargnerai environ $140.00 tous les mois.
le 10 avril 2010
Il est environ 6hres. Nous sommes le samedi matin. Je passerai la journée aux alentours de mon appartement. Jeudi, j’ai acheté pour environ $340.00 de victuailles au IGA d’Aylmer et au magasin d’aliments naturels d’Aylmer, Sol. J’ai entre autres acheté des noix de grenobles et des amandes rôties. Pour ce qui est des noix de grenobles, j’en ajoute à mes salades. Cela fait partie d’un lent virage vers l’alimentation vivante comportant moins de viande. Dernièrement, j’ajoute des morceaux de bœuf ou des morceaux de poulet à mes soupes. Une telle soupe repas accompagnée d’une salade constitue un repas complet qui rassasie et ne me laisse pas avec une sensation de lourdeur. J’ai décidé que pour un certain temps, je mangerai deux ou trois soupers par semaine constitué d’une soupe repas et d’une salade. Le midi, quand je travaille, je me suis apporté une sandwiche au jambon, à la dinde, ou à d’autres choses en plus d’un petit yogourt et d’une petite cannette de jus de légumes. En soirée, je mange un goûter qui peut inclure un sac de croustilles avec moins de gras, que je me procure chez Sol.
L’habitude de ne pas consommer d’alcool est maintenant bien installée. Je m’y suis tenu toute la semaine sans effort. J’allais quand même au dépanneur tous les jours, mais c’était seulement pour acheter le billet de la loterie Banco, et, parfois, deux litres de lait. Les économies se font déjà sentir. Le frigo et les armoires sont remplis à craquer. J’ai recommencé à prêter de l’argent. C. a suffisamment de cigarettes jusqu’à la fin du mois, mais est sans le sou pour s’acheter sa liqueur douce, et, A., comme c’est le cas depuis fort longtemps, n’a plus un sou également.
Je me sens mieux depuis que je ne consomme plus de la bière quotidiennement. Je me sens mieux en raison de cela, et, en raison également des pilules d’huile de saumon que j’ai commencé à prendre au rythme de 3 comprimés de 1000mg par jour.
Hier après-midi, je me suis rendu à l’hôpital Civic à Ottawa pour un examen des fonctions respiratoires ainsi que pour une radiographie des poumons. Cela s’est bien déroulé. Je reverrai mon médecin de famille, le docteur Gauthier, à la fin du mois. D’ici là, je rencontrerai son infirmière quatre fois pour une petite prise de sang pour vérifier quelque chose de relatif à la tuberculose. Je crois que c’est pour déterminer si j’ai déjà été en contact avec le virus ou quelque chose du genre.
Chaque fois que je rencontre le docteur Gauthier, je repars toujours de son bureau avec une liste de recommandations. Cette fois-ci, j’ai collé feuille à l’intérieur de ma porte d’armoire de cuisine et j’ai bien l’intention, cette fois-ci, de suivre toutes les recommandations. Il me faut acheter le livre intitulé : « Younger next year », il me faut consulter une nutritionniste, il me faut faire un peu plus de bicyclette stationnaire, il me faut, au moins une fois la semaine marcher pendant une heure consécutive et d’autres recommandations également.
Il faut dire que les résultats d’analyse sanguine que j’ai eu en janvier étaient excellents. Seuls mon tour de taille, mon poids sont excessifs; il y a quelque chose qui cloche avec la respiration, je suis ressorti du bureau avec une prescriptions pour des pompes à utiliser soir et matin. Et on vise à ce que je cesse de fumer éventuellement et à diminuer avant cela. Elle sait que c’est plus difficile de renoncer au tabac pour une personne affligée d’une maladie mentale et elle ne met pas de pression de ce côté.
Le 12 avril 2010
La fin de semaine est terminée. Hier, j’ai fait la lessive et un peu de ménage et j’ai soupé chez ma sœur T. et son époux H. Samedi, j’ai préparé de la soupe repas avec des morceaux de poitrines de poulets. De manger une bonne portion de cette soupe avec une salade suffit pour un repas du soir complet, et délicieux.
Le mardi 13 avr. 10
Hier, j’ai fait le ménage de la voiture de madame M. et, à sa demande, j’ai photographié quelques meubles de sa maison. Je lui ai fait parvenir les photos en soirée. Je travaillerai de nouveau pour elle mercredi, vendredi et lundi de la semaine prochaine, et, d’autres journées ensuite jusqu’à la fin de semaine du 24 mai alors qu’elle quittera la région pour de bon. Ce qui fait qu’il me reste à peine cinq semaines à travailler pour elle de temps à autres.
Il y a quelques bonnes nuit, en rêve, je parlais avec R. O. une très bonne amie lors de mon année de pré-universitaire à l’université d’Ottawa, en 1973-1974. Dans le rêve, face à elle, je faisais mon coming out pour ce qui est d’être schizophrène et je lui précisais que cela avait débuté longtemps après la période au cours de laquelle je vivais une certaine amitié avec elle. C’est R., qui m’avait dit, un jour, ‘’plus on te connaît, plus on t’aime.’’. Bien qu’heureux dans le temps, j’étais déjà trop tout croche pour saisir qu’il s’agissait là d’une déclaration d’amour.
Dimanche, le 18 avril 10
Je continue de ne pas consommer d’alcool, et cela ne me demande aucun effort. Je me sens bien. Hier, j’ai fait cuire un rôti de porc et j’ai préparé une marmite de soupe, avec des morceaux de bœuf, cette fois-ci. Je suis en congé, aujourd’hui, et, probablement que je le serai demain également.
Les petits tests de la semaine dernière relatif à la tuberculose ont démontré que j’avais déjà été en contact avec quelqu’un qui, probablement sans le savoir, avait la tuberculose. Il y a cela, mais, selon le docteur G., qui venait de recevoir les résultats des tests sur les fonctions pulmonaires et ainsi que la radiographie de la poitrine, il n’y a aucune évidence que la tuberculose soit active en moi. Tout de même, pour le confirmer, en fin de semaine, et, jusqu’à lundi matin, chaque matin, je crache dans un petit pot. Demain, lundi, j’irai porter le tout, trois contenants, au laboratoire de l’hôpital de Hull.
Étant donné que les premiers tests se sont avérés positifs, le docteur Gauthier a annulé les deux autres rencontres que je devais avoir avec elle dans deux semaines.
Le vendredi 23 avr. 10
Espérons que C. ne cognera pas à la porte ce matin, comme elle l’a fait au cours des quelques derniers matins. L’autre jour, je n’ai eu le temps que d’écrire trois lignes, et, ensuite, je lui ai servi un café et nous avons parlé pendant près d’une heure. Souvent, elle se réveille un peu plus tard. J’espère que c’est le cas ce matin.
Toujours est-il, je traîne des flashs d’un très beau rêve avec moi depuis quelques jours. C’est surtout ce rêve que je désirais raconter lorsque j’ai commencé à écrire l’autre jour. C’était le temps de la récolte d’un champ de trèfle. Notons que le trèfle est du foin de qualité. Comme figurant dans ce rêve, il y avait ma mère, monsieur et madame D., mes clients, moi, et une autre personne non identifiée qui conduisait le tracteur avec la presse
à foin. Je marchais comme sur les côtés du champs, et, avec mon pied, j’éloignais le foin de la clôture. Je marchais. Monsieur et madame D. marchaient derrière moi. Ma mère était un peu plus loin. Il pleuvait très légèrement. Je notais à monsieur Dubois que le fait que le type presse le foin (en fasse des balles) alors qu’il tombait des gouttes produiraient des balles pesantes, lourdes. Et monsieur D. notait : « ca va être bien trop lourd pour nous autres » .Puis finalement, j’ai tourné la tête et je me suis rendu compte que monsieur et madame D. s’était assis au bord du champs sur deux chaises qu’il y avait là. Et ma mère avait trébuché et était allongée sur le foin, sur le sol. C’était ma mère lorsqu’elle avait 80 ans, très belle dans ses bottes et son manteau d’hiver.
Notons que les quelques rêves précédant celui-là mettait ma mère en vedette de même que de la nourriture. L’un de ces rêves, j’étais au deuxième étage de la maison de Luskville avec une autre personne et ma mère, au premier, nous appelait pour le souper. Puis un autre rêve, c’était moi qui lui servait à souper. Une scène qui ressemblait un peu aux dernières années vécues avec elle.
Pour en revenir au rêve dans le champ de foin, de trèfle. Le foin est une nourriture de même qu’un peu le symbole de l’argent. Nourriture affective, spirituelle,etc « bien trop lourd pour nous autre ». Quelque chose de gros.
J’aurais aimé écrire avant ce matin, mais mes dames ne me laissent guère de répit. Madame M. en est à ses dernières semaines à Aylmer, (elle part le 22 mai), et madame E. recevra deux amies chinoises à compter de la semaine prochaine. Elles vivront pendant une semaine chez elle. Peu de temps par la suite, le 9 mai, madame E. séjournera une dizaine de jours chez son fils, S., à Toronto. De plus, hier, j’ai tondu le gazon pour la première fois chez monsieur T. à Ste-Rose. De lui –même, il a augmenté la paye à $12.00 pour 50 minutes de travail.
Le dimanche 25 avril 10
« Ha ! Quelle chance. C’est aujourd’hui dimanche. Et le dimanche, on peut faire la grasse matinée » C’était là le refrain d’une chanson qu’on entendait à la radio il y a fort longtemps. Et de rappeler ce refrain constituait en même temps une petite blague, étant donné qu’au moment de l’écriture de ces lignes, il est 4hres45 du matin.
Tantôt, j’ai semé des graines de concombres dans six petits pots que j’ai placés sur le cadre de la fenêtre du salon. Cette semaine, j’achèterai d’autres petits pots à deux pour un dollar au dollarama et je sèmerai d’autres graines de concombres ainsi que quelques graines de piment. Si tout va bien, au cours de la fin de semaine du 22 mai, ou peu de temps par la suite, je transplanterai les plants dans le potager à l’extérieur. L’an dernier, j’étais responsable de ce potager, et, il semble bien, que ce sera la même chose, cette année. C’était réussi l’année passé.
Toujours est-il qu’au premier réveil, cette nuit, j’avais un beau rêve en mémoire. Un autre rêve, mettant en vedette ma mère et de la nourriture. C’était un rêve également qui se situait dans l’actualité de la soirée d’hier par un bout de verbal qui a eu lieu au cours de ce rêve. Les pièces de la maison dans lesquelles s’est déroulé l’action de ce rêve rappelaient aussi bien la maison de Luskville que la maison d’Aylmer dans laquelle ma mère et moi avons vécu pendant plus d’une vingtaine d’années.
J’étais allongé sur ce qui devait être mon lit dans une chambre au deuxième étage de cette maison. Puis, je suis descendu du lit et je me suis rendu compte que je pouvais voler dans les airs. J’ai volé un peu dans la chambre. J’avais vraiment l’impression d’être dans la réalité. Et même d’être un peu dans la réalité d’ici hier soir. Je me disais : « je vole réellement ». Et je pensais par la suite, dans le rêve : « Je ne vole qu’à quelques pieds d’altitude maintenant, mais peut-être qu’un jour, je volerai très haut, avec les oiseaux. À cette hauteur, j’aurai plus d’intelligence que les oiseaux, mais je n’aurai pas l’instinct ».
Puis ensuite, je me suis retrouvé étendu sur le divan du salon dans ce qui était toujours un mélange de la maison de Luskville et de celle d’Aylmer. Il était vers minuit trente. La veille, réellement, j’avais regardé un bon bout, dont la période de prolongation au complet, un bon bout, dis-je, du match de hockey, à la fin duquel, les joueurs des Sénateurs d’Ottawa se sont retrouvés en vacances.
J’ai noté ce fait par rapport au matche de hockey parce que dans le rêve, ma mère était dans la cuisine alors que j’étais dans le salon. Je crois qu’elle préparait le souper. Et toujours dans le rêve, nous étions attablés, ma mère et moi, à minuit trente, et nous convenions, tous les deux, que nous soupions tardivement ce jour là. Puis ma mère a parlé de la partie de hockey en notant quelque chose comme : « j’ai entendu à la radio que les Sénateurs avaient bien joué, mais que ce n’était pas assez ». Et j’ai répondu : « J’ai regardé la partie ».
Puis toujours dans le rêve, mis à part du fait qu’elle avait préparé le souper, c’était un peu ma mère comme elle était au cours des dernières années, du moins dans les réflexions que je me faisais à son sujet dans le rêve. Comme, par exemple, j’étais très étonné qu’elle se souvienne de ce qu’elle avait entendu à la radio par rapport à ce match de hockey. Et quand je me suis réveillé réellement, vers 1hre30, je me disais que cela ressemblait à mon étonnement lorsque, rarement, lors des visites de ma sœur G. ma mère, au réveil de son somme de l’après-midi, se souvenait que G. était avec nous.
Toujours est-il, de la nourriture préparée par ma mère, c’était un thème qui était présent au cours des rêves d’il y a une semaine ou deux. Puis ce qui collait à l’actualité du jour dans le rêve également, c’était de souper beaucoup plus tard qu’à l’accoutumée. Hier, après le travail chez madame M. et les achats au centre de jardinage, je suis revenu ici à14hres. Presque immédiatement, j’ai fait une longue sieste jusqu’à 17hres et j’ai alors commencé à préparer un plat de pâté chinois.
Avant le souper, j’ai reçu C. pour plus de 40 minutes et j’ai fait une commission au dépanneur pour A. Ce qui fait que j’ai commencé à manger à 20 h. Ce qui était beaucoup plus tard que d’habitude. Ensuite, j’avais beaucoup de vaisselle à laver.
Le jeudi 29 avr. 10
De bon matin, 5hre25 à l’horloge. Aujourd’hui, je devrais conduire madame E. et ses deux amies chinoises à Ottawa. Nous sommes allés les chercher à l’aéroport mardi matin. Ce jour là, j’ai également travaillé quelques heures pour madame M. au cours de l’après-midi.
Hier, mercredi, j’étais de retour chez madame M. Nous avons rempli quelques boîtes de linge et de casseroles. Elle partira définitivement le 15 mai, ce qui sera un samedi. Hier, je suis revenu ici avec sa voiture et quelques sacs de vêtements qu’elle donne aux pauvres. Je lui retournerai sa voiture ce matin juste avant de me rendre chez madame E.. Les journées d’aujourd’hui et de demain sont réservées pour madame E..
Hier soir, les Canadiens de Montréal ont éliminé les Capitals de Washington en remportant le septième matche de la série. Peu de gens avaient misé sur eux. J’ai regardé la troisième période au complet. Leur gardien de but, Hallack, s’est transformé en muraille au cours des deux dernières parties. Les Capitals ont dominé largement au chapitre des lancers au but, mais les Canadiens ont remporté ces deux parties. Leur prochaine série les opposera aux Pingouins de Pittsburg et à Sydney Crosbie.