la très grande lettre

le 12 avril 2014 (Il y a quatre ans, des rêves intéressants…)

Je termine à peine la révision de l’extrait que vous lirez ci-dessous. Le style d’écriture s’améliore peu à peu malgré, je l’avoue, que certains passages soient encore assez laborieux à lire.
Sans toujours les interpréter, assez souvent, je note les rêves de la nuit dans ce journal. Je crois que dans ce que j’ai reproduis ici jusqu’à maintenant, il y a certains rêves plutôt intéressants.
Pour ce qui est du temps présent, au Québec, le printemps est finalement arrivé. Il s’était fait un peu attendre cette année. Et tout comme c’était le cas lors des écritures de 2010, je m’occupe toujours du potager près de mon immeuble.
Alors voilà où j’en étais il y a environ quatre ans :

Aujourd’hui est la première journée libre depuis de nombreux jours. Encore qu’il me faudra recevoir mon injection au CLSC en après-midi. Samedi, j’ai travaillé quelque peu chez madame M. et elle avait des vêtements à donner aux gens de mon bloc. Elle m’a laissé sa voiture pour la soirée de samedi et j’ai pu l’utiliser, dimanche matin pour me rendre chez madame E.. Celle-ci devait être à la gare d’Ottawa à 8hres15. Je suis arrivé chez elle à 7hres et nous sommes partis à 7hres40 avec sa voiture. À la gare, j’ai surveillé ses bagages pendant qu’elle payait son passage au guichet, et, ensuite, je lui ai souhaité un bon voyage dans l’aire du pré-embarquement. Elle devait monter à bord du train quelques minutes plus tard. Elle ne devrait pas revenir chez elle avant la fin de la semaine prochaine ou le début de la semaine suivante. Quand le jour et l’heure de l’arrivée seront fixés, son fils m’avertira par courriel. Durant son absence, je travaillerai au moins à trois reprises à raison de quelques heures à chaque occasion autour de sa maison et sur son auto. J’ai à terminer le ramassage des feuilles mortes, j’ai à tondre le gazon, j’ai à semer de l’herbe, j’ai à tailler une petite haie, et finalement, j’ai des retouches de peintures à effectuer sur sa voiture.
Enfin, madame E. a fait don d’une télévision qu’elle n’utilisait plus. Je l’ai apporté ici en revenant de la gare, hier. C’est Céline qui en a hérité.
L’horaire des premiers jours de cette semaine sera ainsi fait : aujourd’hui, lavage, ménage, injection, un peu de cuisine, et, si possible, clavardage avec Jacques, un nouveau correspondant, de même que quelques autres écritures. Et peut-être également, un certain temps à arracher l’herbe dans l’espace du jardin. J’élaborerai plus tard à propos de Jacques. Il y a tellement de similitudes avec Stéphane Dahissiho que je me demande encore si ce n’est pas le même qui tente sa chance de nouveau. Jacques promet que je le verrai à la caméra. Il y a cela, et, tout aussi fort, ce goût de ne plus répondre à ses courriels et de ne rechercher que quelqu’un du Canada. Je verrai.
Un rêve de la nuit dernière, j’étais dans un magasin qui ressemblait beaucoup au dépanneur Laval, un des dépanneurs du coin. Je voulais acheter un billet de loterie en choisissant moi-même les numéros. Une dame qui choisissait ses numéros à ce moment m’a offert de compléter ma fiche pour moi. Je lui ai rapidement dicté les chiffres suivants : 3, 6, 9, 15. Et un peu plus tard dans le rêve, j’ai pensé à compléter cette séquence avec le 33.
Je méditerai légèrement là-dessus au cours de la journée et, probablement que je choisirai cinq autres chiffres afin de former une séquence de 10 nombres pour le Banco.
J’en étais à dresser l’horaire des prochains jours, tantôt, et je me suis arrêté à aujourd’hui. Demain, en après-midi, je laverai des vitres chez madame M. Sa maison sera alors pratiquement déserte, les déménageurs ayant tout apporté le matin. Ce qu’il y aura dans le camion de déménagement demain sera entreposé jusqu’à ce que madame M. soit prêtre à recevoir cela dans sa nouvelle maison. Et il y a des chances que demain soit ma dernière journée à travailler avec elle. Parce que pour ce qui est de travailler pour elle, j’aurai à tondre le gazon jusqu’à ce que la maison soit de nouveau habitée.
A. a téléphoné. Elle manquait de lait pour son café. Je lui en ai apporté un verre. Elle m’a donné un beau manteau qui ne fait plus à son père. Vraiment un très beau manteau pour les temps frisquets que nous connaissons présentement.
Le mercredi 12 mai 2010
Il est tout près de 6 h.. Ce matin, je travaillerai dans le parterre de madame E.. Hier, comme prévu, c’était le dernier quart de travail chez madame M. en sa présence. J’ai passé l’aspirateur dans un sous-sol désert. J’ai lavé un grand miroir mural, et, finalement, j’ai tondu le gazon. Sa fille et une amie devaient l’aider pour le restant du nettoyage de la maison. Elle fait don également de beaucoup de pièces de vêtements qui sont présentement dans de gros sacs jaunes dans la remise près de la tondeuse à gazon. La journée où j’irai rencontrer madame E. à la gare, j’apporterai ces sacs ici pour les locataires de mon building.
Les plants de concombres progressent bien dans les petits pots sur le cadre de fenêtre de mon salon. Normalement, je devrais m’attaquer au jardin au cours de la prochaine semaine. D’ici la fin de la semaine, pour ce qui est du travail rémunéré, il y aura quelques sessions chez madame E. et la tonte du gazon chez monsieur T., à Ste-Rose.
Le lundi 17 mai 2010
6hres35, lundi. Je suis sorti du lit à 4hres45 . J’ai fait un peu d’énergie. J’ai bu du café. Céline a cogné à la porte à 5hr25. Elle est repartie, il y a une dizaine de minutes. Étant donné que j’en ai légèrement les moyens ce temps-ci, je lui fais faire un peu de travail rémunéré de temps à autres. Ce matin, je lui ai demandé de faire mes deux brassées de lavage,et de revenir un peu plus tard faire la vaisselle et nettoyer la cuisine. Je la payerai $10.00 pour le tout, ce qui lui fournira le comptant pour quelques bouteilles de liqueur douce.
J’ai vécu une très belle fin de semaine à Montréal. ma sœur T. m’a reconduit au terminus d’autobus d’Ottawa, samedi, à temps pour le départ de 8 h. Hier, j’étais de retour dans mes terres à 5hres30, conduit, une fois de plus, par T. Celle-ci m’a acheté une petite pizza, qui avec un restant de salade que je gardais au frigo, a constitué mon souper.
J’étais ma sœur G. vers 11 h samedi. Peu de temps après, nous avons mangé un grand bol de soupe dans un petit restaurant de Verdun, oừ G. a ses habitudes. Puis nous nous sommes reposés en après-midi avant de souper et d’écouler la soirée en compagnie de la fille de G., J., de l’époux de J., M., de leurs deux enfants, K. et M., qui sont âgées respectivement de 13 et de 11 ans, et, finalement, de C., le chiot de G..
Entre autres, nous avons visionné un DVD qui appartient à G. au sujet du magicien, Luc Langevin. Loin d’être un magicien ordinaire, celui-ci pratique, entre autres, la télékinésie, soit l’art de faire bouger des objets à distance. Très intéressant. Mentionnons que des expériences involontaires de télékinésie se sont manifestées dans mes grosses périodes psychotiques, alors que je ne consommais pas de médicaments, en 1983 et en 1985. Je reviendrai là-dessus.
Et hier, une belle réunion de famille chez ma sœur M., à Montréal, qui réunissait G., L., son époux, B., M. et moi. M. avait concocté un brunch cinq étoiles qui incluait, entre autres, un savoureux saumon. J’ai pris des photos chez J. et chez M. et, hier soir, je les ai expédiées par ordinateur à mes hôtes de la fin de semaine, ainsi qu’à T. et M. (celle d’Aylmer). La bouffe et l’ambiance ont été excellentes tout le long de la fin de semaine. Cette escapade m’a fait du bien. J’en reviens ragaillardi.
C. lave présentement la vaisselle pendant que le linge est dans la laveuse. Ensuite, pendant que la lessive séchera, je lui ai demandé de rouler 100 cigarettes. J’ajouterai $4.00 à sa paye pour cela.
Avant de revenir, peut-être, au quotidien récent, je désire raconter quelques bribes de rêves qui remontent à la semaine dernière. Un, légèrement mystique, dont j’ai cessé d’essayer d’en tirer une interprétation, un rêve, dis-je, qui se terminait à peu près comme ceci. C’était sous terre, c’était des morts, mais des morts conscients, à bien y penser, des morts vivants, couchés, comme dans une tombe, mais éveillés et conscients d’être là. L’idée était que ces morts, et j’étais l’un d’entre eux, étaient surpris de se retrouver là. J’étais un de ces morts et, en même temps, dans le même rêve, j’étais ailleurs, bien vivant sur terre. Et dans mon état de vivant sur terre, je commentais que le fait de se retrouver ainsi, comme ces morts, conscients sous terre, était l’un des buts cachés de la vie.
Et puis un autre rêve, dont l’une des interprétations est plus simple et revêt un aspect apaisant et positif, un autre rêve dis-je, me mettait en vedette pour la finale, en payant à la caisse d’un super marché après avoir magasiné pour madame E.. La liste d’épiceries de madame E. était constituée de plusieurs petits bouts de papier avec seulement un item d’inscrit sur chacun d’eux. Je vérifiais tous les papiers pour être certain d’avoir compléter la liste. J’avais tout, sauf de la crème. J’ai demandé à la caissière d’attendre que je revienne avec la crème. Ce fut la fin du rêve. La suite logique de ce rêve, je serais revenu avec la crème, j’aurais payé le tout, et ainsi, j’aurais compléter les achats de madame E.
J’ai passablement de travail à faire autour de la maison de madame E. ainsi que sur la voiture durant son absence qui devrait peut-être se prolonger jusqu’au début de la prochaine semaine. Le rêve avec un item par papier indiquait, selon moi, qu’en complétant les taches une à la fois, j’en viendrais à passer au travers, quitte à ce que certains de ces travaux se fassent après son retour.
Vendredi, par exemple, après m’être fait couper les cheveux et après avoir bu un café chez M., je me suis rendu chez madame E. et j’ai travaillé une heure à attacher des branches en petits paquets pour les vidanges. Ces petits bouts de branches provenaient de grosses branches qui s’étaient brisées lors de vents violents en décembre dernier. En attendant les Chinoises, il y a quelques semaines, j’avais, à force de les agiter d’un côté et de l’autre, réussi à faire tomber ces deux branches sur le sol. La semaine dernière, le voisin, avec une scie mécanique, a fait du bois de foyer avec les bonnes parties. Mon frère A., avec l’accord de madame E., héritera de ce bois de foyer.
Le lundi 24 mai 2010
Il est 6hres30. La visite matinale de C. a pris fin il y a quelques minutes. J’ai arrosé le jardin à 5 h.. La nuit a été chaude et les prochains jours le seront également.
Mardi dernier, j’ai complété l’ensemencement ou la mise en terre de plants sur une grande partie du potager. Je l’ai complété le lendemain. Tous les plants de concombres que j’ai transférés de mon cadre de fenêtre au jardin ont bien pris, de même que les 18 plants de tomates achetés chez Loblaws. La laitue a entamé sa sortie de terre, hier matin, de même que les fleurs. Encore une fois, la plupart des locataires ici ont commenté que ce serait un beau jardin. C’est une veine, cette année, que la chaleur soit arrivée beaucoup plus tôt que lors des deux dernières années. Il faut également arroser plus régulièrement qu’au cours des deux derniers printemps car nous connaissons un temps sec.
Hier, j’ai pratiquement dormi toute la journée. J’ai besoin d’une journée comme cela de temps à autres. Aujourd’hui, je devrais faire un peu de ménage, un peu de cuisine, je devrais prier et faire un peu plus d’énergie qu’en temps normal, et je devrais lire un peu.
Vendredi, j’ai travaillé deux heures dans le parterre de monsieur T. J’ai tondu le gazon et j’ai passé le fouet le long des clôtures et le long de la maison. Quand je travaille deux heures pour lui, monsieur T. me paye $24.00. Si j’ai l’occasion de faire autres choses que la tonte du gazon cette année, pour lui, c’est qu’il a de plus en plus mal aux jambes et que d’autres malaises commencent à se manifester. Comme vendredi dernier, par exemple, il m’a confié que la tête lui tournait à l’occasion. J’ai entendu souvent ma mère dire que sa tête lui tournait au cours de ses dernières années sur terre.
Avec monsieur T., avec madame E., nous nous dirigeons tout doucement vers la fin. Ce sera quelques bonnes années ou peut-être moins. Nul humain ne peut le prédire avec certitude. Comme disait René Lévesque, . « L’avenir appartient à la Providence » .
En vivant cette période avec eux, je vis de nouveau, à temps partiel, cette fois-ci, ce que j’ai vécu avec ma mère au cours de ses quelques dernières bonnes années sur terre. Il faut dire qu’ils ont l’esprit assez clair encore tous les deux. Ce que je viens de raconter au sujet de monsieur T. et de madame E. s’applique également à monsieur et madame D. Pour ce qui est de madame M., c’est le premier de ce type de contrat qui ne se termine pas par des funérailles.
Et mercredi et jeudi de la semaine dernière, j’ai travaillé pour madame E. Son fils S. m’a tout d’abord fait parvenir un courriel, mardi, dans lequel il m’annonçait l’arrivée de sa mère par le train de 14 h le lendemain. Mercredi, je l’ai donc rencontrée à la gare et nous avons fait un arrêt chez Loblaws à Aylmer avant de revenir chez elle. Le jeudi, j’ai installé son climatiseur dans la fenêtre du salon et j’ai transplanté un arbre derrière la maison.
Hier, vers la fin de toutes ces siestes durant la journée, j’avais en mémoire les bribes d’un rêve. Il était question d’un plat de « riz oriental » préparé par ma mère. Mon frère A. figurait également dans ce rêve.
Le vendredi 28 mai 2010
Contrairement à ma plupart de mes sessions d’écriture dans ce journal, nous ne sommes pas aux petites heures du matin. Il est présentement 15hres30. Et ce fut un vendredi libre. Ce matin, j’ai dormi jusqu’à 5hres30. J’ai fait le café du matin. C. est entrée et est restée plus de 30 minutes. Je me suis ensuite rasé, j’ai brossé mes dents et j’ai pris ma douche. Après le déjeuner, je me suis assis en avant de notre building avec un café que j’avais apporté de chez moi. J’ai échangé quelques mots avec Y. et K. deux locataires d’ici. Puis je me suis rendu au dépanneur L. pour acheter une canne de tabac, des boîtes de tubes à cigarettes, deux briquets et un contenant de deux litres de lait. Je suis revenu au building. J’ai prêté un peu de tabac à Y. et j’ai donné un briquet à C.. Ensuite, j’ai demandé à l’intervenante en fonction aujourd’hui, Caroline, je lui ai demandé, dis-je, la clef pour la remise qui abrite les outils de jardin. J’ai sorti les tuteurs pour les plants de tomates et je les ai enfoncés dans la terre peu après. Je retournerai au jardin quelques temps en soirée pour transplanter les deux derniers plants de concombres qui poussent dans de petits pots sur le rebord de ma fenêtre du salon. Jusqu’ici, le potager connaît un véritable succès avec les températures chaudes que nous avons en cette fin du mois de mai.
J’avais écrit deux paragraphes, et une mauvaise touche, et j’ai tout perdu, à moins que le tout ne se soit retrouvé ailleurs. Toujours est-il, je résume, mardi, j’ai reçu mon injection au CLSC et j’ai conduit les D. chez un neurologue. Mercredi et jeudi, j’ai conduis madame E. dans des magasins à Aylmer. Jeudi, également, j’ai pique-niqué au parc Jacques Cartier avec mon frère A. Et lundi, je suis resté ici et j’ai préparé de la soupe et du pâté chinois.
La nuit dernière, la paye régulière pour les heures travaillées chez madame E. a été déposée dans mon compte bancaire. C’est avec une partie de cet argent que j’ai fait les achats de ce matin. La nuit prochaine, ce sera au tour de la pension de la régie des rentes d’être déposée dans mon compte. Je ferai alors une épicerie moyenne à Aylmer. Je ne manque de rien d’essentiel. J’ai encore un peu d’argent. Les payes du mois entrent demain et mardi. Et enfin, Y., A. et C., ensemble, me doivent un peu plus de $200.00, à être remis le premier du mois. Et je n’ai toujours pas bu une goutte d’alcool depuis que j’ai annoncé que j’avais cessé. Ce fut facile de ne pas en consommer lors de mon voyage à Montréal.
Il me restait une bonne portion de salade du souper de mercredi. À 11hres, ce matin, j’ai ajouté un peu de jambon froid à cette salade et, avec un grand verre de lait, cela a constitué mon repas du midi. Peu de temps après, j’ai dormi jusque vers 14 h. 20 minutes plus tard, Céline a passé un moment ici avant de descendre en bas. Après son départ, j’étais passablement convaincu de jouir d’un temps de paix. J’avais le goût d’écrire. Et j’ai écris.
Et ce qui doit être écrit aujourd’hui, c’est qu’un petit deuil s’ajoute à la série de changements qui se produisent dans mon quotidien depuis un certain temps, l’abandon de la consommation d’alcool, le départ de madame M., etc. Aujourd’hui, l’organisme BBM qui comptabilise les cotes d’écoute pour la radio et la télévision, une personne de cette compagnie, dis-je, m’a appris qu’une nouvelle politique de la firme limitait à cinq ans la durée de participation au panel des cotes d’écoute. Je portais l’audimètre sur moi depuis septembre 2004. Aujourd’hui sera la dernière journée. Au coucher, je placerai l’audimètre dans le chargeur pour la dernière fois. Demain, je débrancherai le chargeur et le modem. Je rangerai le tout avec l’audimètre. La semaine prochaine, je recevrai une boîte pour leur expédier tous ces instruments par purolator. Cela faisait partie de moi, de, par exemple, vérifier que l’audimètre était bien en place sur ma ceinture. Et puis, c’est un revenu de $10.00 par mois que je n’aurai plus.
Le dimanche 30 mai 2010
Je ne devrais pas écrire trop longtemps ce matin. Il est 6hres30. J’ai arrosé le jardin et j’ai transplanté quelques plants de piment qui avaient débuté leur vie dans un pot dans l’appartement de C.. La plupart de locataires ici m’ont complimenté à propos du jardin cette année. Les températures caniculaires de la semaine dernière sont en grande partie responsable de la croissance rapide des pousses cette année. D’ici un certain temps, peut-être que je prendrai quelques photos et que je tenterai de les insérer dans ce journal.
Hier, j’ai fait une bonne épicerie, plus de $200. au IGA, une quarantaine de dollars au magasin d’aliments naturel Sol et à peu près la même somme à la pharmacie Jean Coutu.