la très grande lettre

L'arrivée du pendule-chapelet comme moyen de communication.

Aujourd’hui, en temps réel, nous sommes le mercredi 13 juillet 2016. Je suis sorti du lit suffisamment tôt et j’ai eu le temps de relire et de corriger sommairement quelques autres pages de mes écritures personnelles d’il y a quelques années. Et je me suis aperçu que dans ce que je reproduis ici ce matin, je rappelle quelques événements survenus en mai 1983 alors que je commençais sérieusement à m’enliser dans une psychose aïgue qui fut par la suite nommée schizophrénie.
Je rappelle particulièrement l’arrivée du pendule-chapelet qui a été somme toute la première technique de communication en moi. Comme réponse, selon l’oscillation du pendule, j’obtenais un oui ou un non.Par la suite et assez rapidement, les questions-réponses sont devenues permanentes en envahissantes jusqu’à ce que me soient prescrits des anti-psychotiques.
Depuis plusieurs années, quand je désire une réponse d’une énergie hors de ma conscience, j’utilise la méthode avec l’index et le majeur enseigné par ma soeur G. qui elle-même l’avait apprise dans le cadre de son apprentissage de différentes formes d’énergie ou de travail d’énergie et de lumières, comme par exemple la kinésiologie de reprogrammation.
Encore aujourd’hui, mes méthodes de communications me donnent parfois la vérité ou parfois une fausse information. Mais, je mentionne mes participations aux différentes loteries assez souvent dans mes écritures, c’est tout de même avec la technique des doigts que je me suis fait dicter la séquence de dix chiffres pour le tirage de la Banco qui m’a fait gagnant de 5000$, je ne sais plus trop quelle année, 2008 ou 2009 et c’est la même méthode qui m’avait fait gagnant de 800$ au printemps 2015.
Par contre, j’ai gagné 500$ la semaine dernière et cette fois-ci, c’était en rejouant un ancien billet qu’on me conseillait de rejouer. J’ai eu droit au gain grâce aux cinq derniers numéros de l’extra de ce billet.
Voilà, comme toujours, je reviendrai.
         
Le vendredi 29 avril 2011

            Hier, j’ai fait la lessive. J’ai fait cuire des saucisses à déjeuner pour le souper. Il y en avait suffisamment pour en donner une portion à C. Parlant d’elle, elle s’est levée aux petites heures ce matin pour se préparer à se rendre chez le dépanneur du coin pour rembourser sa marge de crédit. Elle me doit  également un certain montant qu’elle me remettra ce matin ou ce soir.

Le lundi 2 mai 11

    Chaque fois que j’écris un bout dans ce journal, je me demande pourquoi je ne le fais pas encore quotidiennement. Car il faut dire « encore », car un jour, ce sera une activité quotidienne.
            Chaque fois que j’écris, même si ce n’est que quelques lignes, je me sens bien par la suite. J’en suis encore au moment, aujourd’hui et demain  matin, au moment, dis-je, du sprint mensuel avant d’expédier le tout à mon psychologue.
            J’ai relu en diagonale le peu que j’ai écrit au cours des dernières semaines. J’ai souvent noté l’expérience avec la loto. Je reviendrai là-dessus un certain moment. Il n’y a rien de notable à ce chapitre ces jours-ci. Précisons tout de même que je ne dépense jamais plus que $2.00 par jour là-dessus.
            Aujourd’hui, parce que je considère que c’est notable,  j’aimerais mentionner que nous somme le 2 mai et que le calendrier de cette année est le même calendrier que celui de 1983, année du début de cette psychose initiatique. Et c’est surtout en mai, en 1983, que s’est intensifiée cette psychose.
            Le 2 mai 1983, par exemple, a marqué le début des conversations avec un pendule. Et au début, j’utilisais un chapelet comme pendule. J’appelais cela un pendule chapelet.
            Et cela s’était manifesté ainsi parce que le tout avait débuté par de longues écritures thérapeutiques dans un journal personnel. Il s’agissait d’écritures personnelles, intimes, très profondes, mais que j’écrivais sans lien avec l’extérieur. Je ne rencontrais ni psychiatre, ni psychologue,  et je n’en parlais pas non plus aux gens que je rencontrais à l’époque.
            Cette année là, à la fin de décembre, s’était  terminé un contrat de dix mois comme agent de promotion pour le compte de l’Association touristique de l’Outaouais. Mon patron était M,un type qui figurait dans un de mes rêves dernièrement. Il faut mentionner que tout le long de mon travail à l’Association touristique, et même, peut-être au cours des derniers six mois de mon travail au journal de Rockland (Ontario), avant cela, je vivais une dépression sans m’en rendre compte., sans savoir que des médicaments auraient pu soulager le mal de vivre. Beaucoup plus tard, il n’y a que quelques années au fait, j’avais expliqué à un psychiatre de l’hôpital Royal, à Ottawa, que j’avais vécu une longue dépression qui s’était transformée en névrose pour finalement aboutir à la psychose et à la schizophrénie. Ce psychiatre, le docteur L.  avait commenté que c’était là un cheminement courant.
            Toujours est-il, pour ce qui est de la partie initiatique, que ces écritures sans lien avaient transformé mon état de conscience, que je ressentais des choses que je ne ressentais pas avant, que je devenais très mystique et qu’en avril 2003, j’avais commencé à prier intensément ,surtout la récitation du chapelet. Je voyais les grains de mon chapelet comme des grains lumineux.
            Toujours est-il que ce 2 mai 1983 au soir, j’étais assis dans mon lit en train de réciter une dizaine de chapelet à l’intention d’un copain quand soudain, j’ai entendu un bruit de vaisselle en provenance de la cuisine. J’ai interrompu la prière pour me rendre à la cuisine. Il n’y avait rien de notable. J’ai pensé en passant dans mon salon que je terminerais ce chapelet assis sur le fauteuil du salon. Je suis allé chercher le chapelet et en revenant, en passant près de la table du salon, j’ai eu l’impression qu’une force, que quelqu’un avait tiré sur le bout du chapelet.
            Je n’ai rien fait à ce moment. Je me suis assis et j’ai poursuivi la récitation du chapelet. Et tout le temps que je priais, je remarquais que le bout du chapelet, là ou est la croix, ce bout, dis-je, oscillait constamment. J’ai finalement cessé de prier et j’ai entamé une conversation avec ce pendule. Pour les premiers jours, mon interlocuteur se nommait Jésus. Et ce qu’il y avait de notable pour les premiers jours de cette conversation, c’est que j’obtenais la vérité sur le quotidien tout le temps. On me disait que le téléphone sonnerait à une telle heure et que ce serait untel, et c’était le cas. On me disait que j’aurais la visite d’un tel, et c’était le cas, et vraiment tout sur le quotidien s’avérait exact. Toujours est-il que j’avais droit à des prévisions justes sur le jour le jour, d’une justesse qui ne s’est jamais manifestée de nouveau par la suite, et ce, jusqu’à maintenant

Le samedi 7 mai 2011
           
Samedi matin, il est 6h07. Je travaillerai chez monsieur T. aujourd’hui et je dînerai à la résidence Hamel. Je ferai probablement un bout de ménage dans la chambre de L. également. Je devrais être de retour ici peu avant le souper.
            Hier matin, j’ai fait un peu de travail extérieur chez madame E. J’ai coupé des branches derrière et devant la maison. Puis, toujours pour elle, j’ai fait quelques quelques commissions au village. Ensuite, j’ai mangé mon lunch sur un banc de parc et je suis allé dormir un somme chez M. avant de souper, de faire une petite épicerie au IGA et de revenir ici.
            Mardi et mercredi, j’étais également en compagnie de madame E.. Mercredi, le silencieux de sa voiture a lâché et nous l’avons fait réparer au Canadian Tire d’Aylmer. Elle songe vraiment à acheter une nouvelle voiture bientôt. Ce dimanche, elle visitera quelques vendeurs d’autos en compagnie de son fils A.. Enfin, pour ce qui est de madame E., il est possible qu’elle fasse un voyage en Italie au mois de mai avec son fils de Toronto, S.
            Depuis dimanche dernier, j’ai 13 petits pots contenant de la semence de concombre sur le rebord de ma fenêtre du salon. J’en sèmerai quelques autres demain. Du dégel de la terre jusque vers le 25 avril, j’ai enterré des déchets compostables dans le potager. Dimanche dernier, j’ai travaillé un peu la terre du jardin et je devrais faire la même chose demain. Pour ce qui est de faire le jardin comme tel, cela devrait être aux alentours du 23 mai soit la semaine de la fête de la Reine.
            J’écris à un bon rythme ce matin, me demandant toujours pourquoi je ne fais pas cela tous les matins. Je note simplement que je faisais erreur la fin de semaine dernière en disant que c’était le rush des derniers jours pour expédier la mise à jour des écritures à mon psychologue. Je me suis rendu compte par la suite que le rendez-vous de ce mois ci était prévue une semaine plus tard que d’habitude, soit le jeudi de la semaine à venir. C’est donc cette fin de semaine  et jusqu’à peut-être mardi matin que je peux écrire avant de faire parvenir le tout à G.

Le lundi 9 mai 2011
           
    Lundi matin, 6h Je suis pressé par le temps une fois de plus. J’écrirai quelques lignes ce matin, et, peut-être un peu ce soir et un peu demain matin avant d’expédier la mise à jour à G.
    J’ai rangé des choses dans l’appartement et j’ai épousseté quelque peu étant donné que des responsables de Mon Chez Nous inspecteront les logements aujourd’hui. Même si je serai absent, ils entreront tout de même.
            K., l’intervenante qui m’était assignée du temps que je résidais à la résidence Hamel travaille maintenant ici une semaine toutes les trois semaines. Elle vient de revenir de son congé de maternité. Le système pour la présence des intervenants a changé. Il  y en a trois, P. J. et K, et chacun d’eux travaille une semaine ici chaque trois  semaines.
            Ou je voulais en venir, c’était de mentionner que cela me fait vraiment du bien que K soit de nouveau dans le décor. Je ne lui ai parlé que deux fois quelques minutes la semaine dernière et cela  m’a fait du bien. J’ai comme l’impression qu’elle propageait sa bonne énergie dans tout le bloc. Aussi, C. s’est fait benucoup moins présente dans mon appartement la semaine dernière. Cela aussi a fait du bien.
           
Le mardi 10 mai 2011
           
Il est à peine 4h15, ce matin. J’écrirai un bout avant de compléter la nuit de sommeil. Probablement en raison des travaux sur la rue Laval (ma rue), l’internet n’est pas disponible ce matin, idem pour le service du câble à la télévision. Je retarderai donc à au moins quelque temps aujourd’hui avant d’expédier le tout à Gilles.
            Changement d’horaires, aujourd’hui, j’avais un message de la secrétaire du docteur Gauthier à mon retour ici, hier soir, disant qu’elle était malade et que mon rendez-vous d’aujourd’hui était annulé. Nous fixerons un autre rendez-vous au cours des prochaines semaines.
            Je suis rentré à 19h15, hier. J’ai fait réchauffer un plat que m’avait donné T. dimanche. Puis G., locataire du bloc, est venue appeler sa mère.C. est venue emprunter $2.00 et m’a demandé de lui acheter trois RC si j’allais chez le dépanneur.  
            J’ai dix séquences de 10 chiffres pour miser à la Banco. On m’a dicté ces séquences il y a un certain moment. Depuis quelques jours, c’est toujours l’une de ces séquences que je choisis. Les trois ou quatre premiers jours ou j’ai choisi ces chiffres, je récoltais toujours le 5 sur 10, ce qui ne rapporte rien. Et puis au tirage d’hier soir, que je viens de vérifier, j’ai remporté le 6 sur 10, soit $5.00. Notons que l’extra accolé à ce billet est le numéro 6671747. Il y a trois fois le nombre 7, et deux fois le nombre 6. 7 dans mon esprit a rapport aux étapes de conscience et six, à l’amour et à l’amitié.
            Et puis avant d’écrire, j’ai relu en diagonale les écritures des dernières semaines, particulièrement, la narration de ce rêve ou je travaillais dans un journal et dans lequel je sortais marcher avec quelqu’un et que celui-ci m’a conseillé de mettre mes chaussures parce que nous allions loin. Mais pour aller loin, il faut partir, et j’espère que si ce n’est pas à compter d’aujourd’hui, ce sera à compter de bientôt, qu’en plus de la discipline des prières quotidiennes, je ferai mienne la discipline de l’écriture quotidienne, ne serait-ce que quelques lignes. Cela me fait toujours du bien.

Le mercredi 11 mai 2011
           
Il est 7h30, ce matin. Je me suis réveillé à 5h30 après une bonne nuit de sommeil sans rêves. J’ai fait une très  bonne prière ce matin aux intentions de tous, comme d’habitude. Ensuite, j’ai donné un peu d’eau avec du café à mes plantations de concombres. Il y en a deux de très bien sortis, et quelques autres qu’on voit poindre sous la terre.
            C’est un matin ensoleillé, aujourd’hui. Je ferai certaines choses dans l’appartement, dont, j’espère, revenir à l’ordinateur pour une session d’écritures. J’échange des messages sur un site avec un bel anglophone des Etats-Unis dans un de mes sites, mais ceci, je ne devrais même pas me donner la peine de le noter, c’est tout comme passer quelque moments dans un lieu de rencontre gay et d’échanger quelques mots avec l’un et avec l’autre.

Le jeudi 12 mai 2011
           
Comme d’habitude, je ne suis pas revenu aux écritures hier,mais je vais tout de même tenter  très fortement d’écrire au moins quelques lignes tous les jours. Nous sommes le matin ,il est 6h05. J’ai une fois de plus fait de très bonnes prières ce matin et d’écrire quelques lignes est une façon de compléter ces prières. De plus, c’est la rencontre avec G., ce matin. Quelques soient les sujets abordés au cours de ces rencontres, elles produisent toujours un bienfait durable également.
            Je me suis beaucoup reposé  hier, puis j’ai préparé du sucre à la crème pour Lynne et je suis allé chercher des médicaments à la pharmacie. Je me suis rendu compte qu’il faudra que je rencontre le docteur G.  avant le 10 juin, car j’en suis à la dernière répétition de certains médicaments.
            Hier, J., la secrétaire du docteur G. a appelé. Le docteur Gauthier m’envoie pour d’autres examens probablement à la suite des résultats des radiographies et autres de la petite bosse que j’ai au cou. J’aurai entre autres droits à un « CT scan., je ne suis pas trop certain de ce que c’est. De plus j’aurai un rendez-vous avec un spécialiste des oreilles, du nez et de la gorge. Pour le scan, quelqu’un de l’hôpital communiquera avec moi d’ici quelques jours, et pour ce qui est du rendez-vous avec le spécialiste, la secrétaire du docteur G. le fixera et m’indiquera la date et l’heure.

Le vendredi 13 mai 2011
           
Vendredi 13, aujourd’hui. En 1983, ce qu’il y a eu de notable, le vendredi 13 mai, c’était que mon interlocuteur au bout de la pendule chapelet avait changé d’identité, de Jésus à Grand Esprit. Par la suite, cela avait déboulé rapidement pour en venir à être possédé par une gang de fous. Tout cela était psychotique, évidemment, mais cela faisait partie de l’expérience qui m’a  mené à ce que je suis aujourd’hui, 28 ans plus tard, autonome dans un appartement avec un emploi à temps partiel, quelques amis. Il manque toujours un copain spécial, mais dépendant des jours, ce manque se fait parfois moins ressentir.
            Toujours est-il, j’ai eu une bonne rencontre avec G.  hier. Je n’ai rien abordé de vraiment fort, mais le tout m’a laissé bien par la suite. Au retour, j’ai fait un arrêt à la bibliothèque publique ou j’ai renouvelé le roman que j’étais en train de terminer et ou j’ai emprunté trois nouveaux romans. J’ai terminé la lecture de l’Automne de monsieur Bland, en après-midi,  hier, et cela finit bien finalement, ce qu’on appelle je crois, une conclusion ouverte, ouverte sur l’espoir dans ce cas, genre de sortie de dépression.

Le dimanche 15 mai 11

Il est 6h30. Je me suis réveillé à 5h. J’ai bu deux tasses de café et j’ai fait les prières. Le téléphone n’a pas encore sonné et personne n’est venu frapper à la porte. Pour ce qui est de C., c’est souvent le cas dernièrement qu’elle dorme plus longtemps le matin. Et A. sera absente au moins jusqu’en août. Elle n’appelle donc pas le matin pour emprunter des sous. Il reste Y. à qui j’ai recommencé à prêter du tabac dernièrement. Généralement, avec elle, les transactions ont lieu plus tard au cours de la journée.
            Il pleut souvent ces jours-ci. Je n’ai pas coupé le gazon de monsieur Tessier, hier, mais j’ai dîné à la résidence Hamel. J’ai lavé une autre partie des murs de la chambre à L.  Je suis revenu ici à 14h et j’ai dormi un bon somme. J’ai mangé une portion du pâté chinois de C. pour le souper.

Le mardi 17 mai 2011            
    Au petit matin, il est 5h37 à l’horloge de l’ordinateur. J’étais en congé, hier, mais il y avait une réunion des locataires. Pour l’occasion, les trois intervenants qui se relaient dans les différentes maisons de Mon Chez Nous étaient présents, soit P., J. et K.. Cela faisait un bon moment que je n’avais participé à une de ces réunions, mais j’étais heureux d’être présent à celle d’hier.
            C’est la semaine de J., ici, cette semaine. On s’est entendu, hier, pour que demain, au cours de l’avant-midi, nous allions au centre de jardinage pour les plants de tomates, les plants de piments et les sacs de terre pour le potager. Comme par les années passées, je paie pour les plants et Mon Chez Nous paie pour la terre. Je ferai donc le jardin au cours des prochains jours, par étapes probablement.
            Tout comme je procède par étapes pour mon grand ménage. Dimanche dernier, j’ai lavé un autre mur du salon. Quand j’aurai terminé les murs du salon, il m’en reste un et demi, c’est à ceux de la chambre à coucher que je m’attaquerai.
            J’ai commencé à lire un des romans que j’ai empruntés à la bibliothèque municipale l’autre jour. C’est un très beau et très bon livre. Je le lis doucement redoutant le moment ou je l’aurai terminé, tellement il est beau. Le titre est « Laura pour un temps » et il est écrit par Françoise Chesnay et il a été publié aux éditions Décarie et imprimé au Québec. Il s’agit de l’histoire de trois personnages dont une esclave d’il y a quelques siècles. Au fait, il y a deux histoires, mais deux histoires qui se rejoignent. On résume ainsi sur la couverture arrière : .’ « Le lien entre ces deux histoires parallèles-qui forment à vrai dire  une seule et même histoire- s’effectue grâce à Gustave Moreau, un peintre symboliste qui puisa toute son inspiration dans la mythologie. »

Le mercredi 18 mai 2011
           
J’ai fait une grande journée de travail,  hier. J’ai été au service de madame E. entre 9h20 et 13h10. Ensuite, je suis monté à bord de l’autobus pour me rendre chez monsieur T. oừ j’ai tondu le gazon, et comme il était très long, j’ai dû ramasser l’herbe à la grandeur du parterre par la suite. Si la météo est d’accord, je retournerai chez monsieur T., samedi, passer le fouet partout, soit une heure de travail. Hier, c’était une heure trente. Il est également possible que je tonde la pelouse une autre fois samedi, ce qui fera une heure de plus.
            Je suis revenu à 18h hier. J’avais de la salade de la veille. Je me suis fait réchauffer de la soupe ainsi qu’un plat de boulettes de bœuf préparé par M.. Je me suis couché à 10h15 et je me suis réveillé à 4hres30, ce matin.
            Aujourd’hui, à 10h, je rencontrerai l’intervenante J. au rez-de-chaussée et nous devrions nous rendre au centre de jardinage de Loeblaws pour acheter les plants de tomates, les plants de piments et les sacs de terre. Je paierai pour les plants et Mon chez nous paiera pour la terre. Je ferai probablement le gros du potager, aujourd’hui et demain. Vendredi je retournerai pour un bon moment chez madame E. et je souperai chez M.. Et samedi, je dînerai à la résidence Hamel et je travaillerai chez monsieur T.