la très grande lettre

21 octobre 2016, où il est question d'un rêve impliquant un reptile

Nous sommes au matin du 21 octobre 2016. Et comme d’habitude quand j’écris ici, je viens de terminer la correction sommaire d’un extrait de mes écritures du début de ce journal. J’en suis maintenant à l’aube de l’été 2011.
Comme d’habitude, je rapporte ce que je faisais au jour le jour ainsi que certaines sensations ou émotions. J’ai cessé la correction alors que j’en étais à la narration d’un rêve impliquant une couleuvre, ce qui m’avait donné l’occasion de revenir sur un fait réel de mon enfance, un de mes tout premiers souvenirs clairs, celui où alors q qu’un reptile s’agitait sous ma botte, ma soeur S. avait hurlé avant de m’empoigner dans ses bras et de s’enfuir.Ce fait tant qu’à moi avait instauré ma crainte des couleuvres ainsi que certains blocages face à mon homosexualité. Mais de cela, les psys peuvent en discuter.
Alors voilà, j’espère bien rendu ici, être lu quelque peu, et que ces quelques lecteurs ressentent une partie de la bonne énergie qui m’habite pendant un certain temps quand je publie quelque chose en ces pages.

Le vendredi 20 mai 2011
            Au petit matin, une fois de plus. J’ai à  peine le temps de quelques lignes, histoire de faire le compte rendu des derniers jours. Comme prévu, lundi, je me suis rendu au centre de jardinage avec J. au cours de l’avant-midi. L’après-midi,  j’ai fait le gros du potager. Un locataire d’ici, A., m’a quelque peu aidé. Il a semé les carottes et les fèves. 
            Hier, j’ai fait cuire un rôti de bœuf. Je l’ai laissé au four entre 8h et 17h à une ligne de plus que 200 degrés F. Il était vraiment délicieux. C. en a pris une portion pour souper, j’ai eu mon repas, et j’ai trois repas complets au congélateur. En plus de cela, j’ai dormi passablement au cours de la journée d’hier.

Le mardi 24 mai 11
            L’énergie a fait défaut pour ce qui est des écritures au cours des derniers jours. L’énergie manquante et le fait qu’une fois de plus, j’ai perdu passablement de temps à échanger des messages avec des gens sur les sites de rencontres, des gens qui, pour la plupart ou sinon pour tous, vont disparaître assez rapidement de mes listes de correspondants.
            Pour dire quelque chose de gros, c’est à peu près toujours aux alentours, avant et après, de la pleine lune du mois, que l’absence du vrai copain se fait le plus sentir, et que je suis porté à demeurer assez longtemps sur les deux ou trois sites de rencontres auxquels je suis inscrits, assez longtemps dis-je,  pour que d’autres aient le temps d’amorcer le clavardage avec moi. Quand les effets de la pleine lune s’estompe, je suis bien content de ne ramener personne de tous ces clavardages.
            Et puis, j’allais écrire que C. se faisait un petit peu moins présente et elle vient d’appeler à 5h50, en  manque de liqueur douce.. Je lui ai dit d’attendre quinze minutes et je lui prêterai 4$.  Elle boira un café également. Ensuite, il faudra me brosser les dents, me raser et me doucher car après le travail chez madame E., aujourd’hui, il y aura l’injection au CLSC et un souper chez T.  auquel G participera. Celle-ci  sera dans l’Ouatouais seulement de ce soir à demain après-midi. H. est placé pour la semaine à la résidence St-Louis à Orléans.

Le mercredi 25 mai 2011
            C’est le début d’une journée sans travail avec de nombreuses petites choses à accomplir comme du ménage et du jardinage, de l’écriture et de la lecture, et autres. Il est présentement 7h25. J’ai vérifié au jardin et il n’a point besoin d’arrosage, ce matin. C.est venue pour le café juste avant de se rendre chez le dépanneur. Je me suis brossé les dents. Tantôt je ferai un peu de bicyclette stationnaire avant de déjeuner et de me raser.
            Très belle soirée hier. J’ai soupé chez T. avec G. Puis nous sommes allés nous promener parmi les tulipes à Ottawa. Je suis revenu ici à 20h. J’étais très fatigué. J’avais travaillé chez madame E. le matin et j’étais allé au CLSC pour l’injection l’après-midi.
            C. m’a confié avoir rêvé à moi cette nuit et que c’était un très beau rêve dans lequel, entre autres, elle me disait d’aller me coucher. Moi, il y a déjà un certain temps que je n’ai rêvé quoi que ce soit.

Le jeudi 26 mai 2011
            Il est 6h20. Avant ces écritures, j’ai écrit un petit message à l’intention des responsables d’un site de rencontre auquel je m’étais inscrit il y a un peu plus d’un mois. J’avais cliqué aux endroits demandés pour que l’on ferme mon compte il y a plusieurs jours et je me suis aperçu que j’étais toujours présent sur ce site. J’ai écrit pour être bien certain que l’on ferme mon compte sur le site comme tel et également à la compagnie qui s’occupe des finances. Ce site coûtait $22 par mois. La majorité des correspondants que j’ai pu avoir sur ce site étaient des américains.
            J’ai bien dormi cette nuit et j’avais également dormi passablement au cours de la journée d’hier. Je travaillerai chez monsieur T., soit aujourd’hui, soit samedi ou plus tard si vraiment, nous connaissons quatre journées pluvieuses telles que prédit à la météo.

Le dimanche 29 mai 2011
            J’ai le temps et l’énergie pour écrire quelques lignes ce matin. Il est 6h09 à l’horloge de mon ordinateur. Je me suis couché à 22h hier et je suis sorti du lit à 4h30, ce matin. Ce que je considère être une bonne nuit de sommeil. Je me sens reposé.
            Au tirage de vendredi soir, j’avais gagné $20.00 à la loto-poker qui est une nouvelle loterie de loto-Québec. Avec ce billet, il y a un tirage instantané lorsqu’on l’achète et un autre tirage le soir. En encaissant les $20.00 au dépanneur du coin, hier soir, j’ai acheté un autre billet pour le tirage de la soirée et j’ai instantanément raflé $4.00 avec ce billet. Je n’ai cependant rien gagné lors du tirage d’hier. Pour en finir avec la loterie, disons que ces temps-ci, j’achète quotidiennement un billet de la loterie Banco au coût de 2$ et un billet de la loto-poker également au coût de $2.00. Ce qui fait $4.00 par jour, mais disons que depuis une dizaine de jours, je ne suis pas loin d’avoir couvert mes frais avec les quelques gains instantanés de la loto-poker. J’ai gagné souvent 2$ et au moins 3 fois 4$.
            Toujours est-il, je suis en stand by pour ce qui est d’aller couper le gazon chez monsieur T.. Je devais tout d’abord m’y rendre jeudi et il a plu toute la journée, même chose hier. Il y a aujourd’hui et demain. Cela semble encore assez nuageux ce matin. Je verrai au cours de l’avant-midi. Généralement, je  reçois un appel de monsieur T. le matin pour qu’il me dise ce qui en est chez lui. Puis chez madame E. aussi, le gazon est à tondre au plus tard cette semaine.
            Vendredi, en plus de la paye régulière pour le travail chez madame E., j’ai reçu la paye de vacances pour les 12 derniers mois. Ce qui m’a fait une paye totale de près de $300. J’ai payé $100.00 à la carte de crédit et $43.00 pour le téléphone et j’ai acheté pour environ $30.00 d’épiceries au IGA. Le soir, j’ai acheté du tabac au dépanneur. Il me reste de l’argent dans le compte de banque et dans le porte-monnaie. J’ai payé quelques dollars à C. pour faire ma lessive ordinaire hier et je la paie de nouveau ce matin pour laver mes draps de lit. Pour ce qui est de C., son copain, monsieur M. est à sec, ce qui fait qu’il lui donne beaucoup moins d’argent qu’auparavant et qu’en raison de cela, C. est dans le trou plus que jamais. À son chèque du mois, mercredi, elle devra rembourser au moins $320.00, dont $150.00 à moi. Enfin pour ce qui est d’elle, elle boit un peu moins de RC qu’il y a plusieurs mois, mais c’est encore beaucoup trop. Elle en consomme peut-être trois grosses bouteilles de 2 litres tous les jours plutôt que les six bouteilles d’il n’y a pas si longtemps. Ceci est peut-être dû légèrement à mes prières, mais c’est également dû à un phénomène normal qui se produit avec l’avancement en âge. Avec le temps, on boit moins, on fume moins, etc.
            Pour ce qui est de moi, j’ai cessé complètement la consommation d’alcool le 16 février dernier et je n’ai rien consommé d’alcoolisé depuis cette date. Et jusqu’ici, cela n’exige aucun effort de ma part. Seulement de penser à le mentionner lorsque je suis attablé quelque part et qu’on sert du vin ou d’autres choses.
            Il y a deux ou trois paragraphes, C. a appelé. Elle sera ici dans une dizaine de minutes pour son café matinal et elle repartira avec mes draps dans le panier de lavage. Je ferai alors ma toilette matinale et je prendrai ma douche. Hier, j’ai préparé de la sauce à spagetti et je me suis occupé du petit carré de fleurs dans le jardin et, également, j’ai planté des petits bâtons d’engrais près de mes plants de tomates. Le jardin progresse bien. Je m’y rend au moins une fois par jour. Il pleut tellement dernièrement que j’arrose très peu souvent.

Le mardi 31 mai 11
            Je passe dans la salle de rédaction en coup de vent ce matin. Il est 7h. Je sors de la douche et je dois faire mon lunch, déjeuner, prendre mes médicaments et à 8h20, quitter l’appartement pour me rendre chez madame Earwaker pour entre autres, probablement, installer l’air climatisé, tondre le gazon, acheter des choses dans les magasins d’Aylmer, et aussi apporter la feuille de temps au CLSC afin qu’ils la télécopient au bon endroit. D’ordinaire, nous postons cette feuille de temps, mais il y a une grève des postes dans l’air ces jours-ci. Ce sera embêtant pour cela. Je ne sais de quelle façon ils me feront parvenir mes talons de paye afin que je les envoie à l’aide sociale. Et encore là, au lieu de les poster à l’aide sociale, je devrai me rendre au bureau.
            La fin de semaine pluvieuse a fait en sorte que j’ai travaillé hier, lundi, chez monsieur T.. J’ai tondu le gazon et j’ai ramassé l’herbe par la suite. Ce qui a totalisé deux heures de travail pour $25.00. Je devrais retourner mercredi et samedi chez lui. Mercredi pour passer le fouet sur toute la propriété, et, samedi, pour couper l’herbe  de nouveau.
            Ce matin, j’ai arrosé le potager en profondeur en prévision d’une journée chaude et ensoleillée. On  annonce 32 degrés Celsius pour aujourd’hui. En fin de semaine, j’ai préparé de la sauce à spagetti et du pâté chinois. Avec ce que je ramène de chez T. et M. j’ai plusieurs repas tout prêts dans le congélateur.
            C’est vraiment l’été maintenant. Le plaisir d’aller pieds nus dans l’appartement et celui de sortir sans manteau est revenu. De même que tous les travaux associés à l’été.
            En juin, je toucherai un petit chèque de trois de mes compagnies de sondages par ordinateur soit $20.00 de Léger Léger, $10.00 de Canadian Fact et $13.00 de Survey Lion, soit $43.00 en tout. C’est assez rare que c’est autant que cela au cours d’un même mois. Ces montants représentent des sondages pendant quelques mois.
            Je me sens bien. J’ai écrit à toute vitesse ce matin sans trop souvent accrocher une touche que je ne devrais pas. Je devais écrire ce matin car je dois expédier immédiatement à G.

Le mercredi 8 juin 2011
            Enfin, me voici de retour devant l’ordinateur pour écrire quelques lignes. Il est 6h10. Au programme d’aujourd’hui, il y a un peu de cuisine et un peu de jardinage. Je devrais demeurer aux alentours de mon appartement pour la journée.
            Hier, j’ai travaillé jusqu’à 12h15 pour madame Earwaker puis je suis monté à bord de l’autobus pour me rendre au CLSC de Hull pour l’injection. Au retour ici, à 14h45, je me suis endormi jusqu’à 16h30. A a passé un certain temps ici durant la soirée d’hier. C a été ici pour un bon moment également. 
            Lundi, j’ai mangé une sandwiche de chez Subway avec mon frère A. et nous avons marché autour du lac Lemay avant de revenir à l’appartement pour regarder le match de hockey opposant les Canucks de Vancouver aux Bruins de Boston. Les Bruins ont écrasé les Canucks 8 à 1 ce soir là. Il est fort probable qu’A. revienne samedi soir alors que son épouse, G., sortira dans sa famille.

Le vendredi 10 juin 2011
            Il est 6h50. Il me reste à prendre les médicaments et à déjeuner avant de quitter l’appartement pour me rendre chez madame E.. Céline a passé une nuit blanche et elle était ici à 5h10, ce matin, en manque de RC évidemment, et en manque d’argent aussi. Elle a passé un certain temps ici, puis Y. est venue quêter du tabac à 5h55. Ce qui fait qu’à 6h, les visites du matin étaient terminées.
            J’avais passé une bonne nuit. Je désirais ardemment écrire ce matin, ne serait-ce que pour raconter le rêve de la nuit, qui, avec les sensations qu’il procure, constitue, je crois, un rêve capital, à moins que ce ne soit  à classer dans la catégorie psychose de mon expérience, mais je ne crois pas.
            Toujours est-il qu’il s’agit d’un rêve qui remet la couleuvre, les reptiles à l’honneur, et puis, dans une moindre mesure, l’exorcisme. En gros, en autant que je m’en souvienne,  au début du rêve, j’étais en compagnie d’H.. Celui-ci voyait la couleuvre et je ne la voyais pas. À ce moment, la couleuvre était tout près de moi, par terre, quelque part à l’intérieur d’une maison ou d’un appartement.
            Puis plus tard, je l’ai vu cette couleuvre, elle rampait le long de mon corps pour remonter sous mes pantalons au niveau du bassin et elle sortait la tête à l’endroit ou est ma ceinture. Je  n’irais pas jusqu’à dire qu’il s’agissait d’une expérience plaisante, mais ce n’était pas affolant. Mais il s’agissait d’une intrusion dont je voulais me débarrasser. Et, pour ce faire, c’était comme si j’avais eu deux corps. L’un d’eux vivait une séance d’exorcisme pour enlever la couleuvre dans une autre pièce pendant que moi, ma conscience, était à côté, et là, c’était comme si je regardais la couleuvre avancer à l’extérieur de mon pantalon et je ne sais trop, je l’appelais pour qu’elle sorte et j’étais près à l’empoigner, pour, je crois, m’en débarasser.
            G., une résidente du bloc, ici, est arrivée sur l’entrefaite, et je lui ai dit qu’il y avait de l’exorcisme dans la chambre d’à côté et ne pas ébruiter le fait. Je lui ai également parlé de la couleuvre.
            Je reviendrai sur ce rêve au cours d’une des prochaines sessions d’écriture, le temps presse trop maintenant.
            J’ai préparé une pleine marmite de soupe mercredi et hier, j’ai fait du sucre à la crème. Mercredi, j’ai planté les piquets près des plants de tomates. Dimanche matin, je commencerai à attacher les plants. Aujourd’hui, je passe une bonne partie de la journée chez madame E. et je soupe chez  ma soeur M.  ce soir. Demain, je dine à la résidence Hamel et je couperai le gazon de monsieur T.

Le dimanche 12 juin 11
            Il est 7h12. J’ai mis la musique classique de Radio-Canada comme musique de fond pendant que j’écris. Encore une fois, les visites du matins ont eu lieu tôt. C. a appelé à 5h30 et Yolande était ici avant 6h. Quand C. a appelé, j’en étais aux derniers instants de la prière. J’ai pris le temps de terminer convenablement les rites du matin avant de la rappeler. Comme indice concret de l’efficacité des dernières prières, C.et Y. qui ont toujours mal quelque part n’avaient aucun mal ce matin.
            J’ai d’autres indices de l’efficacité de mes prières, mais ces indices sont plus personnels et moins flagrants peut-être. Ce rêve de la couleuvre de l’autre jour en est un de ces indices.
            Au réveil de ce rêve et pendant un certain temps, je ressentais vivre la partie reptile de mon âme, de mon être. Étant libéré de tout l’aspect survie de telles incarnations, ce n’était pas désagréable. Sentir revivre ou vivre cela pour en venir à recycler cela en quelque chose de positif.
            Concrètement, cela a trait à la couleuvre, qui a été dans mon incarnation présente l’image la plus évidente du reptile. Ces vibrations reptiliennes que j’ai ressenties dans mon corps au réveil ajoutées à ce qui s’est déroulé dans le rêve, ce qui s’est déroulé réellement et ce que j’ai pu penser qui s’était déroulé par la suite sont à mettre en lien direct avec un fait de ma vie que j’ai raconté quelques fois par écrit, mais pas encore, je crois, depuis le début de ce cahier en janvier 2009 ou 2010, je ne sais plus.
            Toujours est-il, ce fait réel, c’est simplement ceci. Je devais avoir quatre ou cinq ans, je marchais en compagnie de ma sœur S. sur un sentier quelque part sur la terre paternelle à Luskville. Je marchais légèrement en retrait de S. Tout d’un coup, Solange s’est retournée vers moi alors que sans que je m’en sois aperçu, j’avais le pied (j’étais chaussé de bottes) en plein sur le milieu d’une couleuvre, et les deux extrémités de ce reptile évidemment remontaient le long de ma jambe.
            Pointant la couleuvre et mon pied, Solange a hurlé fortement, puis elle m’a empoigné dans ses bras et a couru une bonne centaine de pas. Ma mémoire prend congé à partir de ce moment là.
            Dans le rêve, l’autre jour, quand je regardais la couleuvre sortir doucement de mon pantalon, il y avait l’idée de s’en débarrasser, oui, de l’exterminer, de la recycler, en même temps, il y avait l’idée d’être tout à fait à l’aise avec ce reptile, de n’éprouver aucune crainte, d’être en paix avec la couleuvre, d’être moi-même, d’être ce que je suis.
            Je reviendrai au moins une autre fois écrire quelques mots là-dessus. Ce rêve, ces écritures ce matin, ces sensations que j’éprouve dans tout mon être pendant que j’écris cela, toutes ces choses ont un effet curatif. Et c’est puissant comme feeling. Tout cela, la couleuvre, mon rapport à elle, lors de l’anecdote avec S., lors des différentes scènes du rêve, lorsque des sensations de vie de reptile ressuscitent en moi, tout cela, dis-je, a et aura comme conséquence de reprogrammer à la base l’attitude que j’adopte lorsque la possibilité d’enclencher une relation amoureuse se présente.
            C’était bien le son de cette musique de Radio-Canada que j’entendais tout le long de ces écritures. Ne serait-ce que le fait de prendre les quelques minutes nécessaires pour que je puisse entendre cette musique avant une session d’écriture, c’est déjà quelque chose de positif. Pour le futur, qu’il en soit fréquemment ainsi !

RENDU ICI LE 21-10-16